Indonésie | Voyage en petit groupe
Les Lascaux de Bornéo
Indonésie | Voyage en petit groupe
Les Lascaux de Bornéo
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Luc-Henri Fage, membre de la Société des Explorateurs Français depuis 1994, a été bercé par les grands récits d’aventures en mer, en montagne, en méharée… Mais que reste-t-il à explorer au XXe siècle ? C'est peut-être bien cette question qui lui a donné envie de se lancer dans l'exploration du monde souterrain. En effet, Luc-Henri se passionne très tôt pour la spéléologie, qui va le conduire parallèlement à sa vie professionnelle de journaliste, graphiste, puis réalisateur free-lance, à explorer des zones peu connues de la planète.
L'aventure commence en 1983 en Algérie, lorsqu’il participe à l'exploration du gouffre qui devient le plus profond d'Afrique. Cap ensuite vers la Papouasie-Nouvelle-Guinée où il côtoie les jungles denses, leurs mondes souterrains, et rencontre les peuples qui y vivent. Un triple choc qui se cristallise dans le cinéma documentaire et un premier film, "Minyé la fin du mythe". Il comprend que réaliser des films devient un beau moyen pour explorer le monde : la descente intégrale en raft du fleuve Zaïre, la traversée de Bornéo d'ouest en est, puis celle de la Nouvelle-Guinée indonésienne du sud au nord... Il poursuit ses grandes expéditions de spéléo en milieu extrême, notamment en Indonésie ou en Patagonie, et ses films sont récompensés dans des festivals. L’excellent "Néandertal, le mystère de la grotte de Bruniquel" dévoile la face spéléologique de l'homme de Néandertal.
Mais c'est à Bornéo, en 1994, que commence une autre grande aventure : Luc-Henri y découvre la première grotte décorée de peintures préhistoriques. Au fil de quinze missions avec un ami archéologue, ils révèlent un art rupestre unique dans cette partie du monde. Fin 2018, certaines de ces peintures seront finalement datées de plus de 40 000 ans, ce qui en fait les plus anciennes représentations figuratives de la planète ! Ses découvertes exceptionnelles à Bornéo lui valent un Prix Rolex en 2000, un Grant de la National Geographic Society en 2003, tandis que de la Société des Explorateurs Français, lui décerne le Prix Liotard en 2004.
Sa passion pour l'exploration et la spéléologie, fait de Luc-Henri l’accompagnateur idéal pour ce voyage d'exception : il saura vous transmettre tout son savoir sur les mondes souterrains en toute simplicité.
Tel un Henri Breuil (le premier préhistorien à pénétrer dans la grotte de Lascaux, en 1940) des temps modernes, soyez parmi les premiers privilégiés à découvrir les plus belles grottes ornées de peintures rupestres de Bornéo ! Mais tel Indiana Jones - en plus respectueux des sites ! -, il vous faudra pour cela pénétrer, à pied ou en pirogue, la jungle la plus épaisse, vous frayer parfois votre chemin au coupe-coupe, dominer votre vertige ou votre phobie des insectes (en toute sécurité bien sûr, mais avec juste ce qu’il faut d’excitation). La récompense sera à la hauteur : d’Ilas Kenceng, la première découverte, où une main négative a été datée de plus de 10 000 ans, à Gwa Tewet - peut-être la plus belle grotte avec ses 240 mains et son mystérieux « arbre de vie » -, en passant par Liang Karim et ses peintures d’arbre à miel et de tapir, et Gua Jufri et ses figures humaines et animales, vous prendrez la machine à voyager… dans le temps. Et pour vous servir de guide, rien de moins que LE spécialiste des lieux : Luc-Henri Fage, explorateur et spéléologue français qui fut le premier, à partir de 1988, à faire connaître ces sites exceptionnels où seuls allaient jusqu’ici les chercheurs de nids d’hirondelles de l’ethnie basap. Et en prime, peut-être, l’émotion d’apercevoir les touchants et menacés orangs-outans…
Vol régulier pour Samarinda avec escale à Jakarta. Repas et nuit à bord.
Accueil à l'aéroport de Samarinda. Selon l’heure d’arrivée, nuit à Samarinda ou départ direct de l’aéroport vers Sangata, la dernière « ville » avant la forêt.
Tôt le matin, nous faisons les dernières courses pour l'expé puis nous reprenons la route, direction Ambur Batu, mais nous la dépassons et continuons vers Bulan. Nous nous y arrêtons pour visiter un piton karstique isolé au-dessus des palmiers à huile, Kongbeng, avec une grotte étonnante. Des pitons spectaculaires demandant une bonne condition physique : premier avant-goût du karst ! Le soir, nous dormons dans un village traditionnel des Apo Kayan, dont certains ont fait un « grand déménagement » il y a 40 ans pour quitter le centre de Bornéo, où la communauté pensait n’avoir aucun avenir. Malgré cette migration, ils ont réussi à conserver leurs traditions. Visite du village, soirée avec danse et musique Dayak. Nous dormons dans la grande maison communautaire décorée de peintures sur bois polychromes.
Nuit au village dayak de Tewet, Tepiang Langsat, au bord du fleuve Bengalon. Hébergement dans une maison traditionnelle au confort fruste.
Navigation en pirogue, de Tepiang Langsat à Pondok Tewet. Nuit dans un refuge en bois superbe, construit pour accueillir les visiteurs, au pied de Gua Tewet.
Visite de la grotte, avec ses multiples entrées, sa faune particulière (insectes cavernicoles, serpents, batraciens…), ses concrétions étranges et ses rochers aux formes étonnantes sculptées par l’eau. C’est aussi un ancien campement de chasseurs de nids d’hirondelles. Retour en marche facile dans la forêt, sur la rive droite le long de la rivière où se trouvent quelques mains négatives. Nous verrons un grand abri sous roche où ont été réalisées des fouilles d'un site remontant à -23 000 ans, puis nous marchons jusqu’à une résurgence d’une belle eau claire. Récupération des pirogues et retour pour la troisième nuit en bivouac.
Visite de Gua Tewet (grotte ornée) et si, vous le souhaitez, marche sur les pitons au-dessus pour admirer le paysage karstique et la vue sur la plaine.
Visite de Liang Karim (grotte ornée avec le fameux arbre à miel) et/ou visite de Gua Biawak (une grotte-tunnel au bas de la falaise, avec une colonie de chauves-souris incroyable).
Remontée en pirogue de la Bengalon vers la rivière Marang. A - Si le niveau est bas, on doit installer le camp à l'embouchure Bengalon/Marang. Visite d’une grande grotte voisine, Gua Keboboh, avec des entrées multiples. B - Si le niveau est haut, on peut remonter en pirogue jusqu’à la résurgence de Gua Tebo, d'où sort la Marang. C - Si le niveau est moyen, on peut remonter la Marang jusqu’à Gua Sungaï et y installer un camp.
Selon l’état de la rivière Marang : A - Depuis le camp Marang, marche à la journée (petit sac journée) jusqu’à Gua Tengkorak (visite, concrétions, peintures, céramique), voire jusqu’à Gua Sungaï (grotte avec rivière souterraine, gours étagés, faune spécifique) si les marcheurs sont volontaires. B - Depuis le camp de Tebo, visite de la dépression karstique de Tébo et de grottes. Observation possible d’orangs-outans. Bivouac à Tebo. C - Visite de Gua Sungai. Bivouac à Gua Sungai.
Selon l’état de la rivière Marang : A - Marche le long des falaises en longeant la rivière Bengalon vers l’aval, visites de quelques grottes, escalade d’une falaise et récupération des pirogues en fin de journée qui remontent l’équipe au camp. B - Descente possible de la rivière Marang en pack-raft jusqu'à l'embouchure de la Bengalon (les sacs voyagent par les pirogues, donc la descente sera un pur moment de bonheur, sans moteur, avec des animaux possibles). C - Descente en pack-raft, stop à Gua Tengkorak en route. Bivouac à l’embouchure de la Bengalon.
Descente de la rivière Bengalon jusqu'à Ambur Batu (3h de descente). Là, la route touche la rivière, point de rendez-vous avec nos véhicules, idéalement des 4x4, pour repartir au nord, vers la ville de Miau Baru, où se trouve non loin la communauté Dayak des Apo Kayan.
Nuit et journée au village traditionnel de Miau Baru, parmi les Dayak. Promenade, jardin, vie quotidienne, etc., et le soir spectacle de danse et musique. Hébergement dans la grande maison commune.
Route vers Berau. Selon l’état de la route de Miau Baru à Merabu, nous pouvons la faire en 4x4, ou prendre la route (Kijang suffit) vers le village de Merapun, situé au bord de la rivière d’où l’on descend la rivière en pirogue vers le village de Merabu, accueil au village par la communauté.
Jolie marche dans la forêt, traversée de rivière à gué (facile mais très beau). Nous traversons la montagne par une grotte qui débouche de l'autre côté et permet d'accéder à la grotte Harto (Gua Beloyot), escalade et visite de la grotte. Bivouac au bord d’une résurgence de rêve.
Escalade d’un piton karstique et, sur le retour vers le village, découverte de la forêt et du projet écologique de ce village Dayak (qui a sauvé sa forêt des palmiers à huile et des mines de charbon !).
Par la piste, 4h de voiture jusqu’à Berau, situé au nord. De Bandar Udara Kalimarau, retour en avion vers Samarinda ou directement Balikpapan. Nuit à l’hôtel Le Grandeur.
Décollage pour la France. Repas et nuit à bord.
Arrivée en France dans la matinée.
Votre guide peut être amené à modifier l'itinéraire en raison de contraintes d'organisation (transport et hébergement notamment), des conditions météorologiques, du niveau des participants, ou de toute autre cause relative à la sécurité du groupe.
Ce circuit ne comporte pas d'étape de randonnée difficile. Néanmoins, les escalades encordées pour accéder aux grottes peuvent être éprouvantes dans un climat chaud et humide. Les conditions spartiates de bivouac en forêt demandent également un goût prononcé pour l'aventure et l'expédition !
De 4 à 8 personnes (jusqu'à 12 personnes avec les guides et accompagnateurs).
3 nuits en hôtel, 3 nuits en guesthouse ou chez l'habitant et 8 nuits en bivouac dans la forêt.
Sur cette expédition, nous serons en autonomie pendant plus de 8 jours. Dans la forêt, les repas seront composés de nourriture lyophilisée. En ville ou chez l'habitant, nous agrémenterons avec poulet grillé, poisson et surtout avec le riz, base de l'alimentation dans toute l'Asie du Sud-Est.
Les sanitaires seront inexistants quand nous serons dans la forêt. Par contre, possibilité de douche quotidienne dans la rivière lors des bivouacs.
Luc-Henri Fage vous accompagne sur ce voyage d'exception en Indonésie. Voici son portrait...Membre de la Société des Explorateurs Français depuis 1994, Luc-Henri Fage a été bercé par les grands récits d’aventures en mer, en montagne, en méharée… Mais que reste-t-il à explorer au XXe siècle ? C'est peut-être bien cette question qui lui a donné envie de se lancer dans l'exploration du monde souterrain. En effet, Luc-Henri se passionne très tôt pour la spéléologie, qui va le conduire parallèlement à sa vie professionnelle de journaliste, graphiste, puis réalisateur free-lance, à explorer des zones peu connues de la planète. L'aventure commence en 1983 en Algérie, lorsqu’il participe à l'exploration du gouffre qui devient le plus profond d'Afrique. Cap ensuite vers la Papouasie-Nouvelle-Guinée où il côtoie les jungles denses, leurs mondes souterrains, et rencontre les peuples qui y vivent. Un triple choc qui se cristallise dans le cinéma documentaire et un premier film, "Minyé la fin du mythe". Il comprend que réaliser des films devient un beau moyen pour explorer le monde : la descente intégrale en raft du fleuve Zaïre, la traversée de Bornéo d'ouest en est, puis celle de la Nouvelle-Guinée indonésienne du sud au nord... Il poursuit ses grandes expéditions de spéléo en milieu extrême, notamment en Indonésie ou en Patagonie, et ses films sont récompensés dans des festivals. L’excellent "Néandertal, le mystère de la grotte de Bruniquel" dévoile la face spéléologique de l'homme de Néandertal.Mais c'est à Bornéo, en 1994, que commence une autre grande aventure : Luc-Henri y découvre la première grotte décorée de peintures préhistoriques. Au fil de quinze missions avec un ami archéologue, ils révèlent un art rupestre unique dans cette partie du monde. Fin 2018, certaines de ces peintures seront finalement datées de plus de 40 000 ans, ce qui en fait les plus anciennes représentations figuratives de la planète ! Ses découvertes exceptionnelles à Bornéo lui valent un Prix Rolex en 2000, un Grant de la National Geographic Society en 2003, tandis que de la Société des Explorateurs Français, lui décerne le Prix Liotard en 2004.Sa passion pour l'exploration et la spéléologie, fait de Luc-Henri l’accompagnateur idéal pour ce voyage d'exception : il saura vous transmettre tout son savoir sur les mondes souterrains, en toute simplicité
En minibus, en pirogue à moteur, à pied.
Prévoir un sac à dos de 60 litres environ. Une valise avec des affaires propres pourra être laissée à l'hôtel, à récupérer à notre retour.
Vol régulier Garuda Airlines.
La réussite de tout voyage est un délicat mélange de bonne humeur, de sentiments d'entraide, de convivialité, d'esprit de découverte, de bonne volonté, d'une participation aux tâches communes ainsi que le respect des traditions locales. Et n’oubliez pas, des imprévus sont toujours possibles, dans ces moments adoptez la Nomade attitude : patience et tolérance.
Si vous êtes dans l’obligation d’annuler votre voyage avant son commencement (date de départ), vous devez en informer dès que possible NOMADE AVENTURE et l’assureur par tout moyen écrit permettant d’obtenir un accusé de réception. C’est la date d’émission de l’écrit qui sera retenue comme date d’annulation pour facturer les frais d’annulation selon le barème ci-dessous :Jusqu’à 14 jours avant la date de départ : 35 % du prix total du voyageDe 13 à 7 jours avant la date de départ : 55 % du prix total du voyageA moins de 7 jours avant la date de départ : 75 % du prix total du voyageLe jour du départ (ou no-show) : 100 % du prix total du voyagePour plus de détails sur les conditions et frais d'annulation, annulation/résolution par certains participants et maintien du voyage pour les autres, consultez les articles 6, 6.1 et 6.2 dans nos conditions de vente.
11.3 Cas particulier des voyages accompagnés par une personnalité. Pour certains voyages, l’accompagnateur (chef d’expédition, intervenant, conférencier…) est nommément désigné dans le descriptif du voyage sur le site internet de Nomade Aventure : il s’agit notamment de ceux proposés en partenariat avec la Société des Explorateurs Français et accompagnés par l’un de ses membres, ou de ceux guidés par l’aventurier Evrard Wendenbaum. Sans la présence de cet accompagnateur, ces voyages ne sont généralement pas réalisables, ou ne sauraient, la plupart du temps, posséder le même attrait. Aussi, si par extraordinaire cet accompagnateur était empêché de prendre part au voyage en raison, notamment, d’un cas de force majeure, nous pourrions : soit soumettre à l’ensemble des participants la proposition d’un accompagnateur de substitution et, s’il est agréé par tous, maintenir le voyage ; soit annuler le voyage, et proposer à chaque inscrit le choix entre, d’une part un voyage de substitution avec ajustement éventuel du prix (complément à acquitter ou remboursement du trop-perçu), d’autre part l’annulation pure et simple de l’inscription avec remboursement immédiat des sommes versées. Cette situation exceptionnelle ne saurait en revanche donner lieu au versement de toute autre indemnité.
Prendre 150 € pour vos faux frais sur place (boissons, pourboires, etc.).
Nous vous recommandons un montant de 30 à 40 € par participant. Ce sont des règles de savoir vivre évidentes mais il ne nous parait pas inutile de vous les rappeler. Toutefois, il est important de considérer que le pourboire, demeurant facultatif (n'étant pas une partie du salaire), doit être accordé en fonction de votre niveau de satisfaction du travail et des petites attentions de l'équipe locale.Pour information, nous avons établi ce montant sur une base de 2 € par jour environ et par participant pour votre guide principal. Les petits services (chauffeurs, cuisiniers, etc.) peuvent également être gratifiés de quelques « ruppias ». Attention, pensez à bien gérer votre budget pourboire en conséquence des guides complémentaires qui pourraient intervenir en cours de circuit et vous quitteraient avant votre départ. Une petite idée… là encore facultative… il vous est possible de faire une caisse commune avec les autres participants du groupe, qui servirait à « distribuer » les pourboires auprès de vos différents intervenants, évitant ainsi les éternels problèmes de monnaie.
- Lunettes de soleil- Gourde isotherme (1 L min.)- Lampe de poche et/ou lampe frontale (étanche le cas échéant)- Crème solaire haute protection- Nécessaire de toilette (produits biodégradables de préférence)- Protections auditives anti-bruit- Chapeau ou casquette couvrante sur le cou- Adaptateur de prise électrique
Les produits de cette liste ne sont pas obligatoires mais conseillés. Prenez conseil auprès de votre médecin.Lors de la préparation de votre pharmacie, afin de limiter le poids et le volume :- Ne prenez pas les boites entières mais seulement la quantité nécessaire.- Les emballages doivent être éliminés au maximum.- Si vous êtes en couple, nous vous invitions à la partager. Nous vous invitons également à trouver un contenant permettant une protection efficace contre l'humidité et la poussière (ex : deux ziploc l'un dans l'autre). Cette pharmacie représentera alors à peu près 150 g.Elle devra voyager en soute (ciseaux, flacons, etc.) à l'exception de vos médicaments personnels.Ne sous-estimez pas non plus votre consommation de ces produits. Rappelez-vous que nous serons loin de tout secours et que, si les choses venaient à tourner mal, on sera content d'avoir un médicament à se mettre sous la dent.- Tous vos traitements personnels (ne prenez que les quantités adaptées à la durée de la mission)- Votre médicament antipaludique à prise quotidienne (sur ordonnance)- Un antalgique de niveau 1 (20 comprimés, paracétamol conseillé) pour fièvres et douleurs simples- Un antalgique de niveau 2 (12 comprimés, type Efferalgan codeïné, Propofan ou Tramadol) pour les douleurs fortes (évitez les comprimés effervescents qui ne supportent pas l'humidité) (sur ordonnance)- Un antibiotique à visée intestinale (type Oflocet (Ofloxacine)) (sur ordonnance)- Un antibiotique large spectre (24 comprimés d'Augmentin 1g ou 30 comprimés de Pyostacine 500 (si allergie à la pénicilline)) (sur ordonnance)- Pour les femmes, un antibiotique à large spectre pour traiter les cystites (Fosfomycine en dose unique ou Monuril)- Un anti-inflammatoire non stéroïdien (20 comprimés, type BI-Profenid) (sur ordonnance)- Un corticoïde (20 comprimés, type Solupred 20 mg) (sur ordonnance)- Un antispasmodique (20 comprimés, type Spasfon)- Un anti-émétisant (10 comprimés, type Vogalene ou Motilium) (préférez les comprimés car les lyoc ne supportent pas l'humidité)- Un pansement gastrique (10 sachets de Gelox ou comprimés de Moxydar)- Un antidiarrhétique (20 comprimés de Lopéramide (Imodium))- Un anticonstipation (Forlax)- Une poudre ou crème antifongique pour traiter les mycoses (type Mycoster ou Econazole)- Un collyre oculaire de type Tobrex (si vous êtes allergique à celui-ci, prenez-en un autre) (sur ordonnance)- Un anti-histaminique de type Aerius ou Bilaska si vous avez un terrain allergique- Seconde peau pour les ampoules et les échauffements des pieds (les plaques sont plus facile à découper à bonne dimension que les Compeeds prêts a l'emploi)- 1 tube de Biafine ou de Flammazine- 1 tube de crème solaire écran total- 1 rouleau d'Elastoplast 8 cm ou équivalent- 1 flacon de Betadine ou un antiseptique de type Biseptine- Au moins 20 compresses stériles- 10 pansements type Mepore 9 cm x 10 cm- Un répulsif contre les moustiques- Une couverture de survie (taille 1 personne)- Un produit pour désinfecter l’eau (type Micropur)- Une petite paire de ciseaux pour les soins- Un briquet
Un sac à dos environ 60 L et une valise à roulettes à laisser à l'hôtel.
Passeport en cours de validité, valable 6 mois après la date de sortie du territoire indonésien, pour les ressortissants des pays membres de l’Union Européenne (+ Islande, Liechtenstein, Norvège et Suisse). Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches. Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis). Passeport d’urgence. Ce document n’étant pas accepté partout, il faudra s’assurer, avant d’en faire la demande éventuelle, qu’il est reconnu par le pays concerné par le voyage ; on vérifiera également s’il implique une demande de visa (ce qui peut être le cas même pour des pays où on en est dispensé avec un passeport ordinaire). Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire. Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs. De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination. Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.
Voyage de moins de 30 jours : pas de visa pour les ressortissants français, belges et suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches. Attention ! Les titulaires d'un passeport d'urgence ne peuvent pas voyager en Indonésie dans le cadre de cette exemption. Ils doivent faire une demande de visa auprès de l'ambassade d'Indonésie. La taxe aéroportuaire de départ, d'un montant de 200 000 rupiahs par personne, est désormais intégrée au prix du billet d'avion.
Pas de vaccin obligatoire, sauf contre la fièvre jaune pour les voyageurs en provenance de pays d'Afrique subsaharienne et d'Amérique latine où la maladie est présente.
Comme pour tout voyage, il est important d'être immunisé contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, les hépatite A (risque alimentaire) et hépatite B (risque sexuel et sanguin), la coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage), la rougeole pour les enfants. Et, en fonction des risques personnels d'exposition la typhoïde (risque alimentaire) et la rage (pour les séjours aventure et pour les résidents, surtout les enfants), l'encéphalite japonaise, la vaccination (à faire faire dans un centre de vaccinations internationales) concerne surtout les expatriés en zone rurale, mais elle doit aussi être conseillée aux voyageurs ayant une activité de plein air importante pendant les périodes de circulation du virus (nuits sous la tente, treks dans les rizières, pendant la mousson en particulier).
Le risque de paludisme, en Indonésie, varie considérablement d'une île à l’autre, les plus touristiques étant les moins impaludées. Partout, il sera d'autant plus nécessaire de se protéger, jour et nuit, des piqûres de moustiques, qu'ils peuvent aussi transmettre d'autres maladies (dengue, chikungunya, voire encéphalite japonaise ou virus Zika). Ces dispositions seront suffisantes à Java, Sumatra et Bali et maintenant aussi à Lombok ou aux Célèbes même si, localement, des modifications climatiques temporaires (séismes, tsunamis) peuvent entraîner une réactivation du paludisme (voir nos news santé). Les voyageurs à Bornéo, ou Irian Jaya, devront en plus prendre un traitement préventif : Atovaquone (Proguanil - Malarone ou un de ses génériques) ou Doxycycline prescrit par leur médecin. Compte tenu du risque d'effets indésirables, la prescription de méfloquine (Lariam) ne sera proposée aux voyageurs qu'en cas de bonne tolérance lors de voyages antérieurs ou de contre-indication aux autres médicaments actifs.
Temps chaud et humide. Les variations annuelles de température y sont presque inexistantes. Les moyennes minimales et maximales sont de 20 et de 30 degrés Celsius. En montagne, ces températures peuvent baisser de 5 ou 6 degrés. De décembre à avril, le taux d'humidité est beaucoup plus élevé et les averses fréquentes, la période plus sèche étant de mai à octobre. Il faut par contre s'attendre à de courtes périodes de précipitations intenses tout au long de l'année.