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Conseil du pro !
En arrivant à Leh nous vous conseillons de faire une petite promenade au Monastère Samkar.
Début de votre aventure et départ sur un vol international à destination de Delhi, en Inde. Prestations et nuit à bord.
À votre arrivée à l’aéroport international de Delhi, vous retrouvez votre chauffeur pour votre transfert à hôtel. Le reste de la journée est libre pour vous imprégner de l’atmosphère unique de la capitale indienne. Pour les plus curieux, une première aventure vous tend les bras : partez explorer les trésors de l’ancienne ville, fondée au XVIIe siècle. Flânez dans les ruelles animées de Vieux Delhi, où se dressent des merveilles de l’architecture moghole. Laissez-vous impressionner par la majestueuse Jama Masjid, l’une des plus grandes mosquées du pays, puis poursuivez vers le Fort Rouge, véritable joyau de grès rouge et témoin de l’opulence impériale. Terminez votre périple sensoriel au cœur du légendaire bazar de Chandni Chowk, un labyrinthe vibrant d’échoppes, de parfums d’épices, de soieries chatoyantes et de scènes de vie colorées. Nuit à l’hôtel – une pause bien méritée après cette première immersion.
Tôt le matin, vous quittez l’effervescence de Delhi pour embarquer à bord d’un vol intérieur spectaculaire, direction Leh, capitale mythique du Ladakh, nichée à 3 500 mètres d’altitude. Dès l’atterrissage, l’air se fait plus vif, plus pur, et les montagnes himalayennes se dressent à l’horizon comme les gardiennes d’un autre monde. À la sortie de l’aéroport, votre guide francophone vous accueille avec le sourire et vous conduit jusqu’à votre guesthouse, un havre de paix au pied des cimes. C’est ici que commence votre aventure en Royal Enfield, mais pour l’heure, l’altitude impose ses règles. Cette première journée est entièrement consacrée à l’acclimatation : détente, repos, thé chaud, et découverte en douceur des environs. Flânez tranquillement dans les ruelles de Leh, observez les drapeaux de prières flotter au vent, et laissez votre corps s’adapter à l’altitude. Nuit en guesthouse – bercés par le silence des hauteurs.
Ce matin, nous enfourchons nos légendaires Royal Enfield, prêtes à rugir sur les routes du Ladakh. Cap à l’ouest, par la route de Kargil, en direction du Cachemire. Le voyage commence fort, entre adrénaline, paysages à couper le souffle et immersion spirituelle. Peu avant le village de Nimmu, nous faisons halte pour admirer un spectacle rare : la confluence sacrée du Zanskar et de l’Indus, deux fleuves puissants qui se rencontrent dans un tumulte paisible au cœur des montagnes. La route serpente ensuite le long de l’Indus, creusant son chemin à travers des gorges profondes et majestueuses. Sur notre passage, plusieurs monastères millénaires surgissent des falaises comme des sentinelles du temps : Alchi et ses fresques uniques, Likir et son Bouddha géant, ou encore Rizong, perdu dans un cirque rocheux. En fin de journée, nous atteignons Lamayuru, perché à 3 500 mètres d’altitude. Là, suspendu au sommet d’un promontoire rocheux, se dresse le plus ancien monastère du Ladakh. Fondé avant le Xe siècle, ce "gompa" légendaire fut autrefois un lieu d’asile pour les hors-la-loi, d’où son nom : Tharpa Ling, le "lieu de la liberté". Installation dans une guesthouse au cœur du village. Ce soir, les moteurs se taisent, et seul le souffle du vent raconte les histoires de ces terres sacrées.
Le moteur vrombit dès l’aube : aujourd’hui, nous quittons Lamayuru pour une étape d’anthologie. Direction le cœur sauvage du Zanskar, par une nouvelle piste qui relie cette région isolée à la vallée de l’Indus. Une route à la fois spectaculaire, exigeante et inoubliable : bienvenue dans la Grande Traversée du Zanskar. Depuis le petit village de Wanla, notre convoi entame l’ascension du Sirsir La, un col vertigineux culminant à 4 804 mètres. La piste se faufile dans des gorges étroites, creusées par les siècles, où chaque virage semble défier la gravité. Peu à peu, les parois s’écartent, l’horizon s’ouvre… et c’est toute la majesté de l’Himalaya qui se révèle à nous. Mais le défi ne s’arrête pas là. Nous poursuivons jusqu’au col de Singe La, à 5 056 mètres d’altitude, l’un des points culminants de notre aventure. De là, une descente vertigineuse nous attend, plongeant dans les entrailles des gorges de la rivière Zanskar. La piste, audacieusement taillée à flanc de montagne, surplombe des précipices vertigineux – c’est brut, c’est pur, c’est l’aventure avec un grand A. Enfin, comme un mirage après tant de secousses, nous retrouvons une large route bitumée – celle qui fait du bien, celle où nos machines ronronnent de soulagement – pour les derniers kilomètres jusqu’à Padum, la capitale du Zanskar. Nous posons nos sacs dans une guesthouse paisible, au pied du majestueux monastère de Karsha, tel un gardien des hauteurs. Nuit à 3 500 mètres, au cœur du Ladakh oublié.
Ce matin, avant de repartir, un moment de calme et de spiritualité nous attend : nous visitons le monastère de Karsha, l’un des joyaux du Zanskar. Pour les plus matinaux, une expérience unique s’offre à vous : assister à la prière du matin, dans une atmosphère paisible où l’air frais se mêle aux chants des moines. Un instant suspendu, hors du temps, avant de repartir vers l’aventure. Après ce bain de sérénité, nous reprenons la piste qui nous mène vers le sud, en direction de l’Himachal Pradesh. La route est étroite, sinueuse, et nous longeons la rivière Tsarap, dont les eaux impétueuses dévalent les montagnes. Le rythme de la piste s’intensifie à mesure que nous entamons l’ascension du col de Shinku La, perché à 5 053 mètres d’altitude. Le paysage se fait plus austère, mais chaque virage offre une vue imprenable sur les sommets environnants. Une fois le col franchi, un soulagement : la piste devient une large route bitumée, et les paysages de Lahaul s’offrent à nous dans toute leur splendeur. Les vallées verdoyantes semblent presque irréelles après la rugosité du Zanskar. L’altitude baisse, l’air se fait plus doux, et une multitude de senteurs végétales embaument l’atmosphère, comme une promesse de renouveau. Les villages que nous traversons témoignent de cette fusion culturelle unique : ici, le bouddhisme et l’hindouisme cohabitent, créant une atmosphère d’harmonie entre ces deux grandes religions. Cette région, à cheval entre l’Inde et les grands espaces himalayens, semble être un carrefour où le monde se rencontre. Nous arrivons en fin de journée à Keylong, une petite ville paisible où nous passons la nuit dans une guesthouse située à 3 200 mètres d’altitude. Loin du tumulte, nous nous immergeons dans la tranquillité des montagnes.
Nous quittons Keylong ce matin par la mythique route Transhimalayenne, bande d’asphalte et de poussière qui relie les confins du nord de l’Inde à travers des paysages toujours plus extrêmes. Lentement, nous laissons derrière nous les vallées verdoyantes du Lahaul, comme un dernier souffle de douceur avant de plonger dans l’univers brut et silencieux des hautes montagnes. Très vite, la végétation disparaît. Les pentes se font plus raides, les sommets plus acérés, et le décor devient entièrement minéral, presque lunaire. Nous grimpons en direction du Baralacha La, col légendaire perché à 4 800 mètres d’altitude, souvent encore drapé de neige scintillante à cette époque de l’année. L'air se raréfie, les machines ronronnent en cadence, et le silence des hauteurs nous enveloppe. La descente est aussi belle que saisissante. Elle nous fait entrer sur le plateau de Sarchu, frontière naturelle entre l’Himachal Pradesh et le Ladakh. Ici commence véritablement l’immensité du toit du monde. À partir de maintenant, jusqu’à Leh, nous ne redescendrons plus en dessous des 4 300 mètres : une traversée des cieux à moto, entre ciel, roche et vent. Installation dans un camp fixe, à 4 300 mètres d’altitude, au cœur des steppes himalayennes. Nuit sous tente, avec pour seuls compagnons le silence, les étoiles... et les souvenirs de cette route hors du temps.
Le soleil se lève sur les hautes plaines de Sarchu. Nous remettons nos casques, prêts à affronter une des étapes les plus spectaculaires de toute la Transhimalayenne. Devant nous : 250 kilomètres de pure légende, une chevauchée minérale à travers les paysages les plus extrêmes du Ladakh. Dès les premiers kilomètres, la route s'accroche à la falaise et longe un profond canyon pendant près de 25 km. Puis vient l'un des passages les plus mythiques de la route : la montée des Gata Loops, une série vertigineuse de virages en épingle, qui nous conduit vers le col de Nakeela (4 738 m), rapidement suivi par le Lachulung La (5 064 m). À cette altitude, chaque respiration devient plus lente, chaque mètre gagné sur ces hauteurs semble volé au ciel. Nous redescendons ensuite dans les gorges sauvages de Pang, un dédale rocheux où il n’est pas rare de croiser quelques bouquetins en quête de végétation. L’ambiance est lunaire, presque irréelle. Puis soudain, le décor change. La piste débouche sur les Morey Plains, un plateau désertique à perte de vue, balayé par le vent et encadré par des chaînes de montagnes silencieuses. Sur cette bande de terre sablonneuse, quelques tentes en poils de yak annoncent la présence des nomades Changpa, premiers habitants du Ladakh, gardiens des traditions et du désert d’altitude. Mais l’aventure n’est pas encore terminée. Il nous reste un dernier géant à franchir : le Tanglang La, qui culmine à 5 359 mètres, l’un des plus hauts cols routiers du monde. Une fois son sommet atteint, la route amorce sa longue descente vers la vallée de l’Indus, fertile et parsemée de villages et de monastères paisibles, symboles d’un retour progressif à la civilisation. Nous atteignons enfin Leh, capitale du Ladakh, et retrouvons notre guesthouse, perchée à 3 500 mètres. Après cette journée d’exception, entre cols célestes et steppes sans fin, le repos est bien mérité.
Après des journées de conduite intenses et des cols vertigineux, une journée de détente s’impose dans la capitale du Ladakh. Le calme de Leh vous invite à prendre une grande bouffée d'air frais, à laisser le temps s’étirer et à vous imprégner des dernières sensations avant de repartir à l’aventure. Prenez le temps de flâner dans les ruelles de cette ville au charme unique, entre marchés colorés, restaurants locaux où se mélangent épices et saveurs exotiques, et boutiques artisanales où vous pourrez dénicher des souvenirs rares. Si le cœur vous en dit, une petite balade à pied dans les environs vous permettra de découvrir les paysages tout en douceur, ou pourquoi pas, faire un détour par un monastère local, imprégné de sérénité, pour observer les moines en pleine prière ou participer à une pûjâ, rite spirituel qui vous connectera à l’âme de ce pays mystérieux. Cette journée libre est aussi l'occasion parfaite de respirer à 3 500 mètres d’altitude, de goûter à la tranquillité des lieux, et de vous imprégner des multiples influences qui façonnent ce territoire aux confins de l’Himalaya. Le Ladakh n'est pas juste un endroit à traverser, c’est un lieu à vivre, et aujourd’hui, Leh vous offre ce cadeau. Retour à votre guesthouse, pour une dernière nuit au cœur de la vallée de l’Indus, où vous pouvez savourer le silence et la beauté qui vous entourent.
Après une journée de pause bien méritée, il est temps de repartir à l’assaut des vastes étendues du Ladakh. Nous remontons le cours de l’Indus, longeant ses rives pendant près de 160 kilomètres jusqu’au check post de Mahé Bridge. De l’autre côté du pont, une nouvelle aventure commence : nous pénétrons dans le territoire des nomades Changpa, ces habitants du Ladakh vivant en harmonie avec les montagnes et les grands espaces. La route devient ensuite plus étroite et plus sauvage, serpentant à travers les montagnes en direction du Namshang La, un col élevé à 4 800 mètres. Au loin, les premières tentes en poils de yak apparaissent comme des taches blanches sur ce fond minéral. En chemin, nous croisons des marmottes curieuses, des yaks, des dzo (croisement de yak et de vache), des chèvres pashminas, des renards, ainsi que des ânes et des chevaux sauvages qui semblent tout droit sortis d’un autre temps. La piste nous mène ensuite à notre premier lac, le Tso Kiagar, d’un bleu étincelant, avant de se transformer en un terrain encore plus accidenté. Les vibrations de nos Royal Enfield résonnent dans cette immensité alors que nous poursuivons notre route, de plus en plus en altitude, jusqu’au lac Tsomoriri. Avec ses 18 kilomètres de long, ce lac sacré se déploie devant nous comme un miroir gigantesque, bordé de montagnes arides et de prairies d’altitude où paissent tranquillement les troupeaux de nomades. Enfin, nous arrivons à notre camp fixe, situé à 4 540 mètres d’altitude, au bord du lac. La silence absolu de la nuit, les étoiles au-dessus de nous et les échos lointains de la vie nomade font de cette étape une expérience inoubliable.
Aujourd’hui, la route nous mène à travers certains des paysages les plus purs et les plus inaccessibles de l’Himalaya : la journée des lacs. Au départ de Tsomoriri, nous faisons halte à Korzok, l’un des villages habités les plus hauts d’Asie, niché à plus de 4 500 mètres. Une petite communauté de nomades Changpa y vit à l’année, perpétuant un mode de vie ancestral entre prière, transhumance et hospitalité. Son monastère vieux de plus de 500 ans, ancien lieu d’étape sur la route commerciale entre le Spiti et le Ladakh, conserve encore les récits des premiers explorateurs qui l’ont visité. Nous quittons ensuite les abords du lac pour retrouver brièvement la vallée de l’Indus, avant de nous enfoncer à nouveau dans les hautes terres désertiques. Une route étroite et solitaire, récemment ouverte aux voyageurs occidentaux, nous attend. Elle serpente à travers des paysages grandioses, nous menant au sommet de deux cols d’exception : le Kaksang La, perché à 5 435 mètres, puis le Thato La à 5 071 mètres. L’air s’y fait rare, le silence total, et le monde semble figé hors du temps. En chemin, deux joyaux discrets s’offrent à nous : les lacs d’altitude Yaya Tso et Mirpal Tso, petites étendues d’eau turquoise cernées par la rocaille et la solitude. Peu de voyageurs empruntent encore cette route – et c’est ce qui la rend si précieuse. Puis, au détour d’un dernier virage, le Pangong Tso se révèle dans toute sa splendeur. Long de 134 kilomètres, dont les deux tiers s’étendent au Tibet, ce lac mythique est une œuvre d’art naturelle. Ses dégradés de bleu – du turquoise pâle au bleu nuit profond – contrastent à merveille avec les rochers ocre, rouille et sable qui l’entourent. Un tableau mouvant, changeant à chaque heure de la journée. Nous passons la nuit dans une guesthouse simple mais chaleureuse, à 4 225 mètres d’altitude, au bord de ce lac sacré. Une nuit face aux étoiles, où l’on se sent minuscule… et infiniment vivant.
Le soleil s’éveille lentement, caressant les cimes enneigées des montagnes qui se dessinent encore floues dans le lointain. Aujourd’hui, le voyage s’annonce plus serein : pas de col à franchir, pas de pente abrupte à escalader. L’itinéraire nous guide doucement à la descente, nous menant vers une altitude plus basse, à 3200 mètres, dans une aventure où chaque kilomètre nous rapproche un peu plus de la vastitude du désert himalayen. Le paysage change subtilement au fil des heures. Après 70 kilomètres, nous plongeons dans un décor digne d'un autre monde : des gorges impressionnantes aux parois verticales qui semblent se refermer sur nous, avant de déboucher sur le cours tumultueux de la rivière Shyok. Celle-ci prend sa source au glacier Rimo, l’un des bras du gigantesque glacier Siachen, cette langue glacée qui s’étend majestueusement dans le massif du Karakoram. La rivière serpente entre les montagnes, parfois paisible, parfois fougueuse, mais toujours majestueuse, accompagnant nos pas sur près de cent kilomètres. La vallée s'élargit et le désert nous engloutit, la terre nue se fondant dans un horizon sans fin. Ici, la nature semble tout prendre : tout est à la fois aride et grandiose, figé dans un silence profond, à des années-lumière de l’agitation du monde. Au bout de cette étendue, nous arrivons à Diskit, petit village paisible qui semble être un mirage au cœur de cet isolement. Le monastère de l’ordre gelugpa, perché sur une crête, veille sur nous comme une sentinelle ancienne. De là, une vue imprenable s’étend sur la vallée de la Nubra, un paysage à couper le souffle où les montagnes, le sable et les rivières forment un tableau époustouflant, presque irréel. Nous reprenons la route, l’air se rafraîchissant au fur et à mesure que nous avançons. Finalement, après quelques kilomètres, le village de Hunder se profile devant nous, niché dans un écrin de sable et de roches. C’est là que nous passerons la nuit, dans une charmante guesthouse à 3200 mètres d’altitude, après cette journée d’émerveillement et de découverte. Un dîner simple, mais réconfortant, nous attend. Et dans la quiétude de la nuit, alors que les étoiles brillent d’une clarté absolue, le silence du désert nous enveloppe, nous rappelant que, dans ce coin du monde, le temps semble suspendu, à l’image de cette aventure hors du commun.
Dernière étape de cette épopée motocycliste à travers les plus hauts plateaux du monde… mais l’aventure n’est pas encore terminée. Ce matin, nous enfourchons nos Royal Enfield une ultime fois, le cœur battant, car le plus haut col carrossable du monde nous attend : le Khardung La, officiellement annoncé à 5 602 mètres par la voirie locale (mais mesuré à 5 359 m au GPS). Qu’importe le chiffre, l’ascension de ce géant reste mythique. La montée est vertigineuse, chaque virage nous rapproche du toit du monde. Là-haut, le panorama est grandiose : devant nous, le Saser Kangri, majestueux, culmine à 7 612 mètres. Le vent fouette nos visages, l’euphorie nous gagne. C’est le point culminant du voyage — au propre comme au figuré. Puis vient le temps de redescendre. Lentement, la montagne nous rend au monde des hommes. Les sommets s’éloignent, les vallées s’élargissent. Peu à peu, la vie réapparaît : les maisons blanches du Ladakh, les monastères perchés, les rues animées, les prières murmurées au passage des drapeaux flottants. Leh se rapproche. Nous avons traversé l’immensité, et nous voilà revenus au pays des dieux, un peu différents de ceux que nous étions au départ. Le soir venu, la fête bat son plein : c’est la traditionnelle "Ladakhi Party", un dernier repas chaleureux entouré de l’équipe locale, nos guides, mécaniciens, cuisiniers, devenus compagnons d’aventure. Entre rires, danses et souvenirs partagés, cette soirée vient clore un voyage hors du commun. Nuit en guesthouse, à 3 500 mètres d’altitude, dans la capitale du Ladakh. Une dernière nuit, le cœur rempli d’images, de poussière… et d’étoiles.
Très tôt ce matin, un vol intérieur nous attend pour quitter le Ladakh et ses cimes majestueuses. Le temps de quitter l'altitude, les véritables horizons de l’Himalaya, et de rejoindre Delhi, la trépidante capitale de l’Inde, à plus de 1 000 kilomètres d'ici. Ce vol, bien que court, est une transition brutale entre l’immensité des paysages montagnards et l’effervescence urbaine de Delhi. Une journée tampon est prévue, car il faut savoir que le temps dans ces régions peut être capricieux, et les conditions climatiques peuvent parfois mener à l'annulation de certains vols. C'est pourquoi cette étape est prise avec souplesse, pour garantir un retour en toute sérénité. À Delhi, nous retrouvons le tumulte, le bruit et la chaleur, mais aussi une autre forme de beauté – celle de la vie qui bouillonne, dans un autre monde. Nous passerons une dernière nuit en terre indienne, avant que ce voyage incroyable ne prenne fin.
Transfert à l'aéroport pour votre vol retour. Arrivée dans la journée
N.B. :
Ce voyage se fait en co remplissage avec un maximum de 12 participants.
En fonction des dates, il se fera de Leh à Manali ou de Manali à Leh. Pour connaitre les dates de départ, nous consulter.
L’itinéraire, les distances et les temps de roulage peuvent être modifiés en fonction des conditions climatiques et de l’état de la route.
Comment personnaliser votre voyage ?
Vous pouvez ajouter des extensions vers Agra afin de visiter le célèbre Taj Mahal.
A partir de 4390€ pour le pilote
A partir de 3990€ pour le passager
A partir de 3590 euros pour le pilote
A partir de 3190euros pour le passager
Ce voyage s'adresse uniquement aux personnes possédant un permis moto et ayant l'habitude de conduire sur différents types de terrains : bitume, terre, sable, boue, poussière, cailloux, et passages de gués.
Les proportions approximatives sont de 60% de routes bitumées, 20% de terre facile et 20% de terre difficile.
La conduite en Inde est quelque peu déroutante au début, mais l’on fini vite par s’y habituer, le klaxon est roi, le plus gros a généralement la priorité, et n’importe quoi peut déboucher à tout moment au plein milieu de la route. Une fois ces trois règles assimilées, la circulation nous semble plus fluide. L’aventure s’adresse à des pilotes expérimentés capables de respecter les consignes élémentaires de sécurité
Les nuits se font principalement dans des guesthouses (petits hôtels de type familial) en chambre double ou twin ou dans des hôtels de catégorie standard. Chaque chambre comprend une salle de bain privée avec eau chaude, Le parcours prévoit 3 nuits en altitude dans des campements fixes installés. Il s'agit de grandes tentes de deux personnes, où vous pouvez vous tenir debout et dormez dans un lit. De grosses couvertures sont fournies mais il est toujours préférable d’avoir son sac de couchage.
La plupart de vos repas sont compris dans le voyage. Il sont pris avec tous les participants et l’équipe. Le petit déjeuner a lieu vers 8 heures, les déjeuners sont pris en cours de journée sous forme de pique-nique et les dîners se prennent soit dans les hébergements soit notre équipe s’occupera de cuisiner. Au fur à mesure de votre avancée, vous découvrez de nouvelles spécialités culinaires. Si les currys et les différents pains Indien seront toujours présents vous découvrirez au Ladakh une cuisine savoureuse ressemblant davantage à la cuisine chinoise.
Pour rappel, la cuisine Indienne est épicée et pimentée et peut ne pas convenir à tous les palais. Vous pourrez trouver de la cuisine de type occidentale.
Des toilettes seront disponibles, les hotels et guest house sont pourvus de salle de bain et toilettes privatives avec eau chaude. En revanche lors des nuits en camps fixes vous n'aurez pas de douche mais la possibilité d'avoir un seau d'eau chaude afin de faire une toilette d'appoint.
Dans les camps de Sarchu, Hunder et tsomoriri, dans la tente vous aurez un coin lavabo et toilette. (basique)
Nous vous recommandons d'emmener vos serviettes et affaires de toilettes.
Vous serez encadrés par une équipe de professionnels : un guide culturel francophone connaissant bien la région et un accompagnateur moto. Vous serez dans un groupe de 12 personnes maximum
En voiture lors des transferts,en bus pour rejoindre Manali et en moto le reste du temps.
il nous parait important de vous rappeler que lors des transferts en voiture ou bus le port de la ceinture est obligatoire.
De même lorsque vous roulez en moto le port du casque est obligatoire.
Durant le voyage à moto, vos bagages seront transportés dans l’un des véhicules qui suit le groupe. Sur la moto, vous aurez votre petit sac de jour, avec crème solaire, eau, appareil photo, etc… (nous vous fournirons une housse de protection pour l’eau et la poussière - les motos sont équipées d’un petit porte-bagages).
Vol avec escales sur les compagnies telles que Jet Airways, Qatar, Emirates ou encore
un vol Leh Delhi est inclus; go Air, Air India, Jet airways.
La réussite de tout voyage est un délicat mélange de bonne humeur, de sentiments d'entraide, de convivialité, d'esprit de découverte, de bonne volonté, d'une participation aux tâches communes ainsi que le respect des traditions locales. Et n’oubliez pas des imprévus sont toujours possibles, dans ces moments adoptez la Nomade attitude : patience et tolérance.
Afin de tenir compte des contraintes imposées par nos prestataires pour votre voyage, et conformément à nos conditions de vente, en cas d’annulation de votre part avant le commencement du voyage, nous vous appliquerons des frais d’annulation basés sur nos frais réels justifiés à la date de votre annulation.
L'unité monétaire de l'Inde est la roupie.
le budget sur place n’est pas très élevé...voici quelques références et frais à votre charge:
Vos boissons : comptez 10 roupies (15cts d’euros) pour l’incontournable chai = thé, 25 à 40 roupies le litre d'eau, 100 à 150 roupies pour une grande bière.
Les entrées pour les monastères : environ 200 roupies/personne (3€) pour la totalité du séjour.
Les repas à Delhi : entre 200 et 500 roupies/repas (entre 3€ et 8€).
Les extras : cadeaux etc.
Les pourboires : à votre bon vouloir et en fonction de votre satisfaction bien entendu.
Vous nous interrogez régulièrement sur le sujet en nous demandant de vous fournir des indications sur le montant du pourboire à donner à nos équipes locales. Nous restons sur ce sujet fidèle à notre ligne directrice, à savoir que le versement d’un pourboire ou d’une gratification à un ou plusieurs membres de nos partenaires locaux reste soumis à votre libre appréciation. En aucun cas, les équipes locales ne sauraient invoquer une quelconque coutume ou habitude culturelle afin d’exiger quoi que ce soit de votre part.
Toutefois nous vous recommandons les montants suivants
- Pour le guide culturel prévoir environ 790 roupies par jour par couple
- Pour le mécano et le guide de moto environ 550 roupies par jour par couple
- Pour le chauffeur environ 300 roupies par jour par couple
.Chaussures de marche ou bottes moto (le plus étanche possible !) + une paire de chaussures ou tennis pour le soir
.Veste chaude
.Combinaison de pluie
.Gants et casque (l’intégral protège mieux de la poussière, ou de la pluie, le casque ouvert est agréable pour sa vision et son confort, dans tous les cas, une visière ou des lunettes sont nécessaires).
.Lunettes de soleil (haute montagne de préférence)
.Sous couche thermolactyl (genre Damar, etc…)
.Pull chaud en laine, polaire, écharpe, gants et bonnet
.Sac de couchage (0° confort)
.Sac à viande éventuellement
.Lampe frontale ou lampe de poche
.Barres céréales ou toutes autres gâteries dont vous raffolez
.Crème solaire écran total
.Protection lèvre (labialisant)
.Briquet pour brûler vos détritus (à mettre dans le bagage en soute)
.Couteau pliant (à mettre dans le bagage en soute)
.Nécessaire de toilette (produits biodégradables de préférence)
.Papier de toilette (biodégradable si possible)
.Serviette de toilette à séchage rapide
Pharmacie personnelle : crème anti-moustiques ou citronnelle / collyre / pastille pour la gorge / antiseptique et antispasmodique intestinal / quelques pansements / antalgique...
- Un sac de voyage
- Un petit sac à dos pour les affaires quotidiennes
- Une paire de bonnes baskets
-Une paire de chaussures légères pour la détente / des tongs (cela permet de prendre une douche n’importe où, avec parfois moins d’hésitation!)
-Des lacets de rechange
-Des chaussettes légères et des chaussettes un peu épaisses à porter dans les temples
-Une paire de chaussettes hautes
- Des vêtements légers en coton.
Prévoyez quand même quelques vêtements pour vous couvrir en cas de climatisation (les indiens aiment la mettre très fort. Ces vêtements doivent être amples et confortables en toute occasion. Pas de shorts, de bermudas ou de débardeurs, même pour les hommes surtout pour les visites de temples. Pour les femmes, pas de caleçons, pas de jupe et robe courte ou près du corps.
Passeport en cours de validité pour les citoyens français (valable 6 mois après la date d'entrée en Inde), belges (valable au moins 6 mois au moment de la demande de visa) ou suisses (valable au moins 6 mois au moment de la demande de visa). Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Il est à noter que le passeport doit avoir au moins 3 pages vierges consécutives.
Passeport d’urgence. Ce document n’étant pas accepté partout, il faudra s’assurer, avant d’en faire la demande éventuelle, qu’il est reconnu par le pays concerné par le voyage ; on vérifiera également s’il implique une demande de visa (ce qui peut être le cas même pour des pays où on en est dispensé avec un passeport ordinaire).
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Attention ! Appareils de communication par satellite et GPS : l’importation, la possession et l’utilisation de tout appareil de communication par satellite (téléphone, balise ou téléavertisseur), sans autorisation officielle, sont interdites en Inde. Les appareils de navigation en plein air pouvant se connecter à des réseaux de téléphones satellitaires sont aussi concernés. Les contrevenants encourent de fortes amendes ou même des peines d'emprisonnement. D'autre part, l’introduction et la possession sur le sol indien d’appareils de positionnement GPS sont également interdites, y compris lors des transits aéroportuaires. Ces appareils sont confisqués par les autorités et leurs détenteurs s'exposent à procédure judiciaire, amende et expulsion. Par contre, les téléphones portables équipés d’applications GPS ne relèvent pas de ces dispositions.
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les États-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.
Visa obligatoire pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
E-TOURIST VISA
Les ressortissants français peuvent désormais faire une demande d'e-Tourist Visa sur le site https://indianvisaonline.gov.in/visa/tvoa.html (entrées multiples, 41 euros).
Une fois l'e-Tourist Visa reçu par mail, l'imprimer et le présenter à l’embarquement et à l'aéroport d'arrivée en Inde (obligatoirement : Ahmedabad, Amritsar, Bagdogra, Bengaluru, Bhubaneswar, Calicut, Chennai, Chandigarh, Cochin, Coimbatore, Delhi, Gaya, Goa, Guwahati, Hyderabad, Jaipur, Kannur, Kolkata, Lucknow, Madurai, Mangalore, Mumbai, Nagpur, Pune, Tiruchirapalli, Trivandrum, Varanasi et Vishakhapatnam, ainsi qu'aux ports de Cochin, Goa, Mangalore, Mumbai et Chennai), le voyageur étant en possession de son passeport et de son billet d'avion aller-retour ; les données biométriques sont prises à l'aéroport d'arrivée. L'e-Tourist Visa est émis pour 90 jours maximum par entrée à compter de la date d'arrivée en Inde (sa validité est d'un an).
Des e-visas d’une validité d’un mois existent, mais les délais de mise en œuvre les rendent peu sûrs et leur font préférer le visa valide un an. Si toutefois on choisissait cette formule, on sera attentif à ne pas faire sa demande trop tôt.
DEMANDE DE VISA CLASSIQUE SUR PASSEPORT VIA VFS
Pour toute demande de visa classique apposé sur le passeport, ou tout voyage ne correspondant pas aux conditions ci-dessus, on suivra la procédure ci-dessous (dans ce cas, la demande de visa sera faite 20 jours minimum avant le départ).
Le visa est alors valable 6 mois (entrées multiples). L'entrée devra donc avoir lieu dans les 6 mois qui suivent la date d'émission.
Consulter le site www.vfsglobal.com/india/france/how_to_apply.html
Attention ! Désormais et avant toute démarche, un formulaire de demande de visa en ligne doit obligatoirement être complété. Ce formulaire, ainsi que les éléments de procédure, est disponible sur le site de VFS. Coût d’obtention du visa : 104,96 euros ; supplément expédition Chronopost, 25,00 euros. Compter de 10 à 15 jours de délai pour l'obtention du visa.
Les autorités indiennes exigent l'enregistrement des données biométriques des demandeurs au moment du dépôt du dossier (personnes dispensées : moins de 12 et plus de 70 ans), ce qui implique d'être présent en personne au centre de visas (une demande effectuée via une agence de visas dispense de cette obligation). Horaires d’ouverture à vérifier sur le site de VFS.
Les photos d'identité.
Pour être acceptées par le gouvernement indien, vos photos devront impérativement être de format 5 cm x 5 cm et conformes aux normes ISO/IEC 19794-5 : 2005.
Couleur : les photos doivent être en couleur et faire apparaître un teint naturel ; les photos en noir et blanc seront refusées.
Qualité : les photos scannées ou de mauvaise résolution seront refusées. Les photos doivent être nettes, sans pliures ni traces et imprimées sur du papier photographique standard.
Fond : il doit être clair et uni ; les photos sur fond coloré ou fantaisie seront refusées.
Cadrage : la prise de vue doit montrer un gros plan du visage et des épaules ; le visage doit apparaître au centre du cadre, sans inclinaison et prendre entre 70% et 80% de la hauteur de la photo.
Expression : neutre, bouche fermée.
Cheveux : ils ne doivent pas masquer le visage.
Yeux : le sujet doit regarder l’objectif et avoir gardé les yeux ouverts ; les montures de lunettes doivent être discrètes et ne pas cacher les yeux. Les photos présentant un sujet portant des verres teintés ou ayant les yeux rouges seront refusées.
Couvre-chefs : ils ne sont pas acceptés. Le gouvernement indien tolère les accessoires portés pour des raisons religieuses, croyances ou antécédents ethniques, à la condition que le visage reste entièrement visible.
CONDITIONS PARTICULIERES
Attention ! Le e-Tourist Visa ne suffit pas pour accéder aux régions suivantes : Sikkim, Arunachal Pradesh, Himachal Pradesh, Jammu et Cachemire, Ladakh, Manipur, Mizoram, Nagaland, partie de l'Uttar Pradesh et de l'Uttarakhand, partie du Rajasthan (désert national, Water Canal, secteur à l'ouest de la route NH15), îles Andaman et Nicobar.
De même, le visa classique ne donne pas accès aux régions suivantes : Assam, Sikkim, îles Laquedives, îles Andaman. Un permis spécial est requis pour accéder à ces zones.
Si vous voyagez par notre intermédiaire, nous nous chargeons d’obtenir pour vous le permis pour accéder au Sikkim et au Ladakh.
Pour l´Assam et les îles Laquedives : le permis sera demandé à la réservation des prestations. Vous devrez pour cela nous fournir, à l´inscription, la photocopie de votre passeport et indiquer votre profession.
Pour les îles Andaman, le permis se prend sur place, à l´arrivée à l´aéroport de Port Blair.
Pour toute autre région, nous consulter.
En cas de voyage combiné avec une destination voisine (Népal, Tibet, Bhoutan, Maldives, Sri Lanka) impliquant plusieurs entrées sur le territoire indien, les ressortissants français n’ont plus besoin d’obtenir de dérogation (pour les autres nationalités, se renseigner auprès du consulat).
En cas de voyage combiné Inde-Népal ou Inde-Bhoutan, il est à noter que la loi indienne interdit d’entrer en Inde depuis le Népal ou le Bhoutan avec des roupies indiennes.
Permis de conduire moto international (obligatoire aux passages des check-post).
Il n'y en a pas pour les voyageurs en provenance d'Europe ou des États-Unis, mais un certificat de vaccination contre la fièvre jaune peut être exigé pour les voyageurs en provenance des pays d'Afrique subsaharienne et d'Amérique latine où la maladie peut être présente.
Comme pour tout voyage, il est important d'être immunisé contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, les hépatites A et B, la coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage), la rougeole pour les enfants. Mais aussi contre la fièvre typhoïde (le sous-continent indien étant l’une des régions du monde les plus infectées) et contre l'encéphalite japonaise, la vaccination (à faire faire dans un centre de vaccinations internationales) concerne surtout les expatriés en zone rurale, mais elle doit aussi être conseillée aux voyageurs ayant une activité de plein air importante pendant les périodes de circulation du virus (nuits sous la tente, treks dans les rizières, pendant la mousson en particulier), la rage, en cas de séjour prolongé en zone rurale Vaccin anti-méningococcique tétravalent A/C/Y/W135 (Menveo) en période épidémique.
La majorité des voyages hors mousson (grandes villes, Rajasthan, Tamil Nadu, Kerala, Karnataka, Madya Pradesh, Uttar Pradesh et États himalayens) ne réclame aucun traitement préventif. Ce qui ne dispense pas d’une protection rigoureuse contre les piqûres de moustiques (répulsifs peau et vêtements, moustiquaires en l’absence d’air conditionné), vecteurs d’autres maladies (dengue, chikungunya, voire encéphalite japonaise ou virus Zika) pouvant être présentes. Par contre, le risque de paludisme est réel au-dessous de 1500 m dans les Etats de l’Inde « profonde » (zones rurales de l'Orissa, du Bengale Occidental ou de l'Andra Pradesh. Pour ces régions, un traitement préventif par Atovaquone-Proguanil (Malarone ou un de ses génériques) ou chloroquine-proguanil (Savarine) devra être prescrit.
Afin de respecter la culture locale, il est important d’avoir les épaules couvertes, d’éviter les décolletés, et les jambes nues… Indispensable pour la visite des monastères.
Nous vous déconseillons de toucher la tête des enfants.
déchaussez-vous toujours avant d'entrer dans la pièce principale et asseyez-vous là où on vous l'indique, en tailleur. Il semble impoli d'accepter avec empressement ce que l'on vous propose, il convient même de refuser l’offre une première fois avant de l’accepter.
Situé en très hautes altitudes, le Ladakh présente un climat désertique avec des écarts thermiques importants. Les températures augmentent de janvier à mai et diminuent de septembre à décembre. La meilleure période pour s’y rendre est de juin à septembre : temps ensoleillé et chaud (entre 20°C et 30°C), avec possibilité d’orages. Les températures varient la nuit selon l’altitude : de 3000 à 4000m, elles descendent rarement en dessous de 0°C ; de 4000 à 5000m, elles sont froides (de 0° à -10°C). Aussi, de faibles chutes de neige sont à prévoir, ainsi que des gelées matinales.
Votre réseau téléphonique fonctionnera entre Delhi et Manali. Une fois au Ladakh aucun réseau étranger ne fonctionne (zone protégée de par la proximité avec la Chine et le Pakistan). Sur place vous sur certaine étape d'une connexion Wifi (mais c'est parfois très lent) ou en cas d’urgence, vos proches peuvent joindre directement un membre de notre équipe.
L'inde à 3h30 de plus en été et 4h30 en hiver.
Le voltage étant le même qu'en Europe, pas besoin d’adaptateur en Inde, les prises sont les mêmes que chez vous et le voltage est de 220V (il y a beaucoup de coupures de courant). Vous pourrez charger vos batteries en cours de route, excepté les 3 soirs en campements fixes à SaSi vous avez un chargeur sur allume cigare, vous pourrez toujours rechargez vos appareils dans le véhicule d’assistance
Ladakh-Zanskar : Charles Genoud et Philippe Chabloz, éditions Olizane
Le Ladakh : P.Kaplanian, Ed. Les Guides Peuples du Monde
Lonely Planet : Inde du Nord
Ladakh-Zanskar carte 1/150000 : Nord, Sud, Centre – éditions Olizane
L'équilibre du monde : de Rohinton Mistry, Le Livre de Poche, 2003.
Le dieu des petits riens : d'Arundhati Roy, Folio, 2000.
La fille qui marchait sur l'eau : de Siddharth Dhanvant Shanghvi, Ed. Poche, 2006.
Olivier Follmi : Photographe de l’humanité - www.follmispirit.com
Site d’information générale sur l’Inde – www.aujourdhuilinde.com
Depuis 2019, nous nous efforçons d’appliquer les exigences des recommandations de la norme internationale NF ISO 20611 sur les bonnes pratiques en matière de durabilité dans le tourisme d’aventure. Ainsi, nous défendons et mettons en pratique, une vision du voyage durable et engagée, dans 5 domaines essentiels :
1/ Réduire notre empreinte carbone
Depuis 2018, 100% des émissions de CO2 de vos voyages sont absorbées. Et depuis 2020, les deux tiers de nos voyageurs en Europe continentale sont incités à partir en train plutôt qu’en avion ! En savoir plus…
2/ Améliorer la gestion des déchets
Sur nos voyages, bouteilles en plastique et couverts jetables sont bannis. Au sein de l'entreprise, tri des déchets, produits d'entretien écologiques, etc. En savoir plus…
3/ Protéger la faune
Depuis 2019, nous appliquons notre « Charte sur le respect de la vie animale » : ne pas perturber leur habitat, respecter une certaine distance, prendre soin des animaux de bât, etc. En savoir plus…
4/ Soutenir les populations locales
Nous appliquons depuis 2019 notre « Charte de l’accueil communautaire ». Nous soutenons financièrement des projets locaux de protection de l’enfance et d'aide au développement économique. En savoir plus…
5/ Favoriser l'accessibilité
Un tour opérateur d'aventure qui propose des voyages adaptés aux Personnes à Mobilité Réduite (hébergements, véhicules, étapes…) ? Mais oui, l'aventure ce n'est pas que le trek ! En savoir plus…
Et vous que pouvez-vous faire ?
Pour commencer, prendre connaissance et appliquer les 15 commandements du voyageur responsable avant, pendant et après le voyage.
Chacun de nous peut contribuer à être un voyageur responsable, attentif au monde et à ses habitants, en suivant quelques conseils avant, pendant et après le voyage.
- Avant le voyage
1- Choisissez des professionnels engagés dans le tourisme responsable
2- Vous informer, apprendre quelques mots dans la langue du pays…
3- N’emportez que l’essentiel et ramenez des souvenirs fabriqués localement
4- Gardez l’esprit critique
- Pendant le voyage
5- Adoptez les us et coutumes locaux
6- Avant de photographier une personne, prenez le temps de lui demander
7- Comme chez vous, triez les déchets et économisez les ressources
8- Préservez les sites visités
9- Préférez le don aux associations plutôt que la mendicité
10- Dénoncez l’exploitation sexuelle des enfants
- Après le voyage
11- Honorez vos engagements
12- Signalez les situations graves et intolérables remarquées
13- Compensez les émissions liées à votre voyage
14- Soutenez des initiatives locales
15- Partagez votre expérience
Randonnées (ou autres activités sportives) de 4h à 5h par jour en moyenne, avec dénivelés (si rando) de 300 à 500 m, sur terrain accessible et peu accidenté. Bonne condition physique requise.