Passeport en cours de validité, valable 6 mois après la date de retour pour les ressortissants français, belges et suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).
Pour les passeports français, pour l’entrée ou transit en Afrique du Sud, seuls ceux lisibles en machine (biométriques et électroniques) ou non lisibles en machine (à lecture optique, type « Delphine ») mais délivrés après le 24 novembre 2005 sont acceptés.
Pour vous aider à identifier le type de passeport français dont vous êtes titulaire, vous pouvez consulter le site Service Public http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F11603.xhtml.
Passeport d’urgence. Ce document n’étant pas accepté partout, il faudra s’assurer, avant d’en faire la demande éventuelle, qu’il est reconnu par le pays concerné par le voyage ; on vérifiera également s’il implique une demande de visa (ce qui peut être le cas même pour des pays où on en est dispensé avec un passeport ordinaire).
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Il est important de le noter que si vous faîtes escale et êtes en transit par l’Afrique du Sud et si vous voyagez avec un mineur, il pourra vous être demandé de respecter les formalités d’entrée des mineurs en Afrique du Sud qui sont décrites sur le site du Quai d’Orsay accessible depuis le lien suivant. Ces pièces prouvant la filiation du mineur avec les autres personnes voyageant avec lui sont indispensables, certaines compagnies aériennes les exigeant dès l’embarquement depuis votre point de départ. Il est donc très important de suivre les recommandations suivantes : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays/afrique-du-sud/
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent être en mesure de les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.
Visa obligatoire pour les ressortissants français. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Il est possible d'obtenir un visa sur place à l'arrivée (entrée simple, 30 dollars US ; double entrée, 45 dollars US ; règlement en dollars et en espèces). Il suffit pour cela de compléter un formulaire de demande.
Demande de visa en ligne avant le départ : www.evisa.gov.zw/holiday.aspx
Les difficultés ponctuelles de la procédure en ligne nous font recommander la demande sur place, même si elle implique parfois un peu d'attente.
Le Kaza Univisa, valable pour le Zimbabwe et la Zambie, peut aussi être demandé aux entrées suivant. Zimbabwe : Harare International Airport ; Victoria Falls International Airport ; frontière Victoria Falls ; frontière Kazungula. Zambie : Kenneth Kaunda International Airport ; Harry Mwanga Nkumbula International Airport ; frontière Victoria Falls ; frontière Kazungula (possibilité de demande en ligne pour une entrée côté zambien). Il est valable 30 jours et coûte 50 dollars US.
La taxe AIDEF (pour la restauration des infrastructures aéroportuaires), de 15 dollars US sur les vols internationaux, est incluse au prix des billets.
Pas de vaccination obligatoire pour les voyageurs arrivant directement d’Europe. Un certificat de vaccination contre la fièvre jaune pourra cependant être demandé à ceux qui auront effectué un séjour récent dans un pays d’Afrique sub-saharienne ou d’Amérique du Sud où, même si la vaccination n’est pas exigée, la maladie peut être présente.
Comme toujours et partout il est important d'être immunisé contre diphtérie,tétanos et poliomyélite, hépatites A et B, coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage) et en fonction de la durée et du type du voyage contre, typhoïde, rage.
La première des protections est la protection individuelle contre les moustiques (et les autres insectes) : répulsifs adaptés, vêtements couvrants, moustiquaires imprégnées, présentes dans les camps et lodges. A l'exception de la capitale Harare, le paludisme est présent partout ; le choix de traitement préventif devra donc se faire entre Atovaquone-Proguanil (Malarone ou un de ses génériques) ou doxycycline. Compte tenu du risque d'effets indésirables, la prescription de méfloquine (Lariam) ne sera proposée aux voyageurs qu'en cas de bonne tolérance lors de voyages antérieurs ou de contre-indication aux autres médicaments actifs.
Les risques d'affections transmises par des piqûres d'insectes (moustiques, mouches, tiques) sont présents partout hors des grandes villes. Il en est de même pour les risques alimentaires, et ceci, de plus en plus alors que se dégrade la situation du pays (hormis dans les camps de safaris et à Victoria Falls). Leur prévention doit passer par l'observance des conseils de nos recommandations générales concernant les problèmes environnementaux et comportementaux. La dégradation actuelle de la situation politique, entraîne une grande insécurité hors des zones touristiques. Il est recommandé de ne pas voyager seul, de suivre scrupuleusement les interdits des autorités locales et de se renseigner avant le départ auprès du ministère des affaires étrangères. Baignades : le risque de parasitoses multiples interdit les bains dans les rivières, sauf peut-être dans le Zambèze à l'approche (mais pas trop!) des chutes Victoria.
Harare.
2200$ par habitant.
Le Mont Inyangani, plus haut sommet du pays, culmine à 2 592 mètres et longe la frontière orientale.
Important : les saisons sont inversées par rapport aux nôtres et Noël se fête au moment le plus chaud de l’année !
La saison des safaris commence avec la saison sèche (d’avril à octobre), période très agréable pour voyager : le soleil est très présent, il ne fait pas trop chaud et l’air est sec.
Il faut distinguer les hauts plateaux (Harare, Bulawayo), où il fait très bon en avril, mai et septembre, octobre (les nuits peuvent être très froides en juin – juillet, c’est l’hiver austral), et les régions basses du nord-ouest (Victoria Falls, lac Kariba) où il peut y avoir de très fortes chaleurs à ces mêmes périodes.
La saison des pluies se situe entre le mois de novembre et le mois de mars. Sur les hauts plateaux, les pluies tombent sous forme d’orages et d’averses, ce qui n’empêche jamais très longtemps le soleil de briller. Les régions basses du nord-ouest sont soumises à de plus fortes chaleurs et des pluies plus importantes. C’est l’été austral, une saison où les animaux sont plus difficilement observables car ils se dispersent à travers tout le pays au sein d’une végétation luxuriante.
Températures maximales/minimales à Harare : janvier (32 °C/21 °C), avril (25 °C/12 °C), juillet (21 °C/7 °C), octobre (29 °C/15 °C).
Etat de l'Afrique australe limitrophe de la Zambie au nord, du Mozambique à l'est, de l'Afrique du Sud au sud, et du Botswana à l'ouest.
La plus grande partie du Zimbabwe est constituée de plateaux culminants entre 900 et 1700 mètres d'altitude. Sa longueur maximale est de 725 kilomètres (Est-ouest) et de 840 kilomètres (Nord-sud) pour donner une superficie de 390 580 km2.
On distingue trois zones géographiques principales.
Les Eastern Highlands, région montagneuse à la frontière Ouest (Mozambique) avec le Mont Inyangani pour point le plus haut (2592 mètres).
Le lowveld, au sud qui se caractérise par de la savane jaune paille à partir du sud du fleuve Save jusqu'au Limpopo (grand fleuve au sud du Zimbabwe)
Les plateaux du nord qui descendent doucement de plusieurs chaînes de montagnes vers le Zambèze et se caractérisent par du bush et des affleurements rocheux.
Le Zimbabwe ne manque pas de ressources naturelles telles que les minéraux, la terre arable, la faune...
C'est ainsi qu'il existe différentes activités.
Le secteur agricole est la clef de voûte de l’économie, car le pays reste dans l’ensemble rural et la population vit de l’agriculture et des autres activités économiques connexes. Il emploie de 60 à 70% de la population qui en tire ses revenus; produit 60% des matières premières nécessaires au secteur industriel et contribue dans la mesure de 40% aux recettes totales d’exportation.
Le secteur manufacturier est aussi bien développé et représente 24 % du PIB. Le secteur minier joue un rôle économique important et génère beaucoup de recettes en devises étrangères représentant 8 % du PIB. De son côté, le secteur des services, en plein essor, correspond à 34 % du PIB.
Concernant la faune du Zimbabwe, elle est assez variée. On y trouve les fameux Big Five (le buffle, le lion, l'éléphant et le rhinocéros noir, le léopard), des antilopes, des crocodiles, des lézards de variétés multiples, une multitudes d'oiseaux et un grand nombre important d'espèces de poissons (notamment sur les rives du lac Kariba).
Le plus grand parc national du Zimbabwe est le Hwange : tant par sa superficie de 14620 km² que par la richesse et la diversité de sa faune. Situé à la limite des sables du désert du Kalahari, Hwange est l'une des plus grandes réserves d'éléphants du continent. Le parc abrite quelques 107 variétés de mammifères et plus de 500 espèces d'oiseaux dans des paysages allant de la forêt de tek à de grandes étendues de savane infinie.
Concernant la flore, elle est également variée. On y trouve des jacarandas, des bananiers, des bougainvilliers, des aloès ... dans tout le pays.
Sinon, la majeure partie du pays est couvert de bushveld (=savane), en effet le Zimbabwe est le pays d'Afrique Australe le plus boisé et le plus riche en forêts.
Toutefois, il existe des distinctions.
Les Eastern Highlands sont recouvertes par endroit de forêts immenses de pin, de rochers de grès...
Près du Vumba, on trouve des forêts tropicales.
Au Sud et Sud-Est du pays, on trouve par exemple des baobabs.
12 576 742 habitants.
Le Zimbabwe reconnaît comme langue officielle l'Anglais qui est utilisé dans l'administration gouvernementale, pour les médias et comme unique langue dans les universités.
Les langues parlées sont : le shona (parlé par 67% de la population) et le ndébéle (parlé par 16% de la population).
Le shona est une langue très ancienne surtout parlée dans le centre et l’est du pays.
Le ndébéle est une langue récente, créée il y a moins de 2 siècles et dérivée du Zoulou, surtout parlée dans la Matabeleland et l’ouest du pays (région de Bulawayo).
Voici quelques expressions de base en shona et en Ndébéle qui vous permettront de communiquer :
En Shona
Bonjour (initial) : Mhoro /Mhoroi
Bonjour (réponse) : Ahoi
Au revoir (la personne reste) : Lisalekhule
Au revoir (la personne part) : Fambai zvakanaka
Comment allez-vous ? : Makadii / Makadi-ni ?
Je vais bien : Ndiripo
S’il vous plaît : Ndapota
Merci : Ndatenda / Masvitta
Combien (cela coûte-t-il) ? : Imarii ?
Aujourd’hui : Nhas
Demain : Mangwana
Hier : Nezuro
Oui : Ehe
Non : Aiw
En Ndébélé
Bonjour (initial) : Sawubona/Salibona
Bonjour (réponse) : Yebo
Au revoir (la personne reste) : Chisarai zvakanaka
Au revoir (la personne part) : Uhambe kuhle
Comment allez-vous ? : Linjani / Kunjani ?
Je vais bien : Sikona
S’il vous plaît : Uxolo
Merci : Siyabonga kakulu
Combien (cela coûte-t-il) ? : Yimalini ?
Aujourd’hui : Lamhla
Demain : Kusasa
Hier : Izol
Oui : Yebo
Non : Hayi
98 % de Noirs (71 % de Shonas, 16 % de Ndebeles et 11 % de minorités ethniques), 1 % de Blancs et 1 % de métis et d'Asiatiques.
Les Zimbabwéens sont pour la plupart Bantoue (dont 76% appartiennent à des groupes Shona.
Ces groupes Shona habitent pour la plupart l'Est du Pays et le Nord, englobant Harare, Mutare, l'est du lac Kariba, Gweru...
Les Ndebeles représentent 18% de la population du Zimbabwe et vivent pour l'essentiel au nord est et à l'est du pays.
A noter que les femmes Ndebeles furent appelées "femme girafe" à cause des anneaux de cuivre qu'elles portent aux chevilles et cou.
Les Batonka représentent 2 % de la population et vivent en dessous du lac Kariba.
Les Shangaan ne représentent qu'1% de la population et résident dans le sud-est du pays.
Enfin, les européens et asiatiques d'origine indienne représentant 2% de la population sont installés partout.
Religion à 50 % syncrétique (chrétienne mélangée aux croyances locales), 25 % de chrétiens, 24 % de croyances locales, 1 % de musulmans et autres.
Les Shona sont chrétiens tout en conservant leurs croyances traditionnelles animistes.
1er janvier : Nouvel An.
Mars ou avril : Vendredi Saint, dimanche de Pâques, lundi de Pâques.
1er mai : Fête du Travail.
25 et 26 mai : Africa Days.
11 et 12 août : Heroe's Days et Défence Forces Day.
25 décembre : Noël.
26 décembre : Boxing Day.
Historiquement, le Zimbabwe est une ancienne colonie britannique lorsqu'elle s'appelait encore Rhodésie.
En 1888/1889, Cecil John Rhodes, qui rêve de voir s'étendre l'empire britannique entre le Caire et la Cap, obtient des concessions et fonde la British South Africa Company.
C'est ainsi qu'en 1895 est créée la Rhodésie du Nord et la Rhodésie du Sud.
En 1923, la Grande-Bretagne se décide à annexer la Rhodésie du Sud. Puis en 1953, il y a unification des deux Rhodésies.
En 1961, une constitution favorisant les blancs au pouvoir a été formulée.
En 1965, le gouvernement a unilatéralement déclaré son indépendance, mais la Grande-Bretagne n'a pas reconnu l'acte et a demandé une généralisation des droits de vote pour la majorité noire Africaine du pays. Suite à des sanctions de l'ONU et une guérilla, des élections libres ont finalement eu lieu en 1979, et le Zimbabwe a obtenu son indépendance le 18 avril 1980.
Robert MUGABE, le tout premier 1er ministre de la nation, est resté le seul dirigeant du pays (en tant que président depuis 1987) et domine le système politique du pays depuis l'indépendance.
Le Zimbabwe est une république de l’Afrique centrale divisé en huit provinces et deux villes à statut provincial (Bulawayo et Hararé), chacune étant dotée d'une Assemblée provinciale et administrée par un commissaire nommé par le gouvernement central: Manicaland, Mashonaland Central, Mashonaland-Est, Mashonaland-Ouest, Masvingo, Matabeleland-Nord, Matabeleland-Sud et Midlands.
En vertu de l'article 171 de la Constitution de février 2000, chacune de ces provinces est dotée de son Assemblée habilitée à adopter des lois en matière de tourisme, de transports, de logement, de santé, d'éducation...
Le Président est le chef de l'Etat, le chef du gouvernement et le commandant en chef des forces de défense. Il est élu par les électeurs inscrits sur les listes électorales et son mandat est de six ans, renouvelable.
Le Parlement comprend 150 représentants, dont 120 sont élus par les électeurs inscrits et représentent 120 circonscriptions, huit sont des gouverneurs de province qui sont d'office membres du Parlement, 10 sont des chefs traditionnels désignés par le Conseil des chefs et 12 autres sont nommés par le Président.
Le Parlement est convoqué par une proclamation présidentielle et il est prorogé et dissous par le Président. Il a un mandat maximum de cinq ans au terme duquel il est automatiquement dissous. En vertu de la Constitution, une élection générale doit ensuite avoir lieu immédiatement.
Le Zimbabwe est également une démocratie multipartiste. Autrement dit, les individus sont libres de former des partis politiques et d'y adhérer. Aux élections, les électeurs, sous réserve de l'éligibilité, peuvent voter pour n'importe quel candidat de n'importe quel parti politique.
Il existe actuellement une douzaine de partis politiques dans ce pays.
Cecil John Rhodes (1853-1902): était un homme d'affaire britannique, Premier ministre de la colonie du Cap en Afrique du Sud et fondateur de la Rhodésie en l'honneur duquel elle fut baptisée.
Sa devise personnelle "so much to do, so little time..." (tant de choses à faire, si peu de temps pour les accomplir..) fit le tour du monde.
Robert Gabriel Mugabe (né le 21 février 1924)est un dictateur africain, président du Zimbabwe depuis 1987, auparavant premier ministre depuis 1980.
Longtemps considéré comme l'un des "pères de l´indépendance", l'ancien guérillero a plongé, au début des années 2000, l'ancien grenier à blé de l'Afrique dans la pénurie alimentaire la plus totale...
Le pourboire est laissé à votre appréciation. Pour toutes les personnes intervenant dans le cadre des prestations achetées par notre intermédiaire, vous avez l’assurance qu’il ne se substituera jamais au salaire. Néanmoins, il est d’usage dans la quasi-totalité des pays au monde de donner un pourboire lorsque l’on a été satisfait du service.
Pour les chauffeurs, nous vous conseillons l'équivalent de 2 à 3 euros par jour et par personne (5 euros par jour et par personne pour les guides). A l'hôtel, une tip box pour le personnel est généralement à disposition ; compter 1 à 2 euros par bagage au bagagiste. Au restaurant, 10% du montant de l'addition sont dans la norme.
Nous vous conseillons d'aligner votre pourboire sur l’économie locale : le prix d’une bière ou d’un thé, d’un paquet de cigarettes, vous donneront un aperçu du niveau de vie et vous permettront, comme vous le faites naturellement chez vous, d'estimer son montant.
Si le cas se présente, on évitera en revanche d'encourager la mendicité, notamment celle des enfants, en faisant des distributions « sauvages » dans la rue. Si l'on souhaite apporter son aide en fournissant du matériel scolaire, des vêtements ou des médicaments, il est préférable de les remettre au directeur de l’école, au chef du village ou au dispensaire le plus proche, qui sauront en faire bénéficier les plus démunis.
Dans les camps et lodges il est d’usage de donner un pourboire d’environ 4 euros par jour et par personne à votre chauffeur-guide et de 2 euros par jour et par voyageur pour le reste du personnel. Des boîtes à pourboires (tip box) sont en général prévues à cet effet dans chaque camp. Vous pouvez également utiliser des enveloppes.
Parmi l'artisanat présent au Zimbabwe, voici les incontournables que vous trouverez facilement :
- Les sculptures en ébène, en acajou ou en mukwa.
- Les pierres précieuses en émeraude, malachite ou serpentine, qui sont soit sculptées, soit serties en bijoux.
- La dentelle et la vannerie.
- Enfin, le fameux tabouret batonka en bois sculpté, originaire de la région de Binga.
La cuisine zimbabwéenne est souvent calquée sur la cuisine anglaise et manque un petit peu d’originalité : la formule « buffet » proposée dans les lodges et hôtels est amplement pratiquée. Les fruits et légumes sont rincés à l’eau filtrée et peuvent être consommés sans crainte.
Les camps et lodges fournissent en général de l’eau minérale ou purifiée pour votre consommation.
Si vous souhaitez découvrir les saveurs locales vous pourrez apprécier le plat national « la satza » (sorte de porridge de maïs blanc accompagné de légumes ou viande en sauce), de savoureux plats préparés à base de « viandes de brousse » comme le ragoût « d’impala », le steak de « koudou » ou d’autruche, de queue de crocodile… Des plats à base de poissons sont également proposés dans tout le nord-ouest et l’est du pays.
L’eau du robinet étant impropre à la consommation, il est conseillé de ne boire que de l’eau minérale en bouteille. On s’abstiendra également de consommer des glaçons.
Le réseau routier goudronné n’est pas très bon au Zimbabwe, les pistes dans les réserves sont inégales et souvent défoncées.
ATTENTION : la conduite à gauche impose pour les personnes qui n'y sont pas accoutumées une vigilance particulière, surtout aux carrefours.
A noter également, qu'il faut faire attention aux éventuelles collisions avec des animaux qui traversent la route !
Pour des raisons évidentes de sécurité, il est interdit de descendre du véhicule à l’intérieur des parcs et des réserves, où nous sommes tolérés par les animaux tant que nous restons dans le véhicule. On ne peut y circuler que pendant la journée, de 6h00 à 18h30 et la vitesse y est limitée à 25 km / heure.
Les taxis peuvent être trouvés à leur station respective dans les principaux centres ou peuvent être appelés des hôtels et restaurants.
Le Zimbabwe possède 2 759 kilomètres de chemin de fer.
Les trains, (qui sont divisés en trois classes), offrent un moyen de transport peu onéreux pour visiter le Zimbabwe, et desservent les principales villes : Harare, Bulawayo, Victoria Falls et Mutare.
Ils circulent essentiellement la nuit et possèdent des compartiments couchettes bon marché et confortables. A noter qu'il est préférable que vous apportiez votre nourriture, puisque peu de trains possèdent une voiture restaurant.
Les différents transferts prévus pour la réalisation de votre voyage à la carte peuvent s’effectuer notamment en avion taxi moyen d’accès très pratique au Zimbabwe qui permet de desservir de nombreuses régions inaccessibles ou difficilement accessibles par la route.
Durée des vols intérieurs (sur vol direct):
Harare / Hwange : environ 2h05 minutes.
Harare / Kariba : environ 0h50 minutes.
Harare / Victoria Falls : environ 1h30 minutes.
Harare / Bulawayo : environ 0h50 minutes.
Hwange / Kariba : environ 0h55 minutes.
Hwange / Victoria Falls : environ 0h35 minutes.
Kariba / Victoria Falls : environ 1h50 minutes.
Le Zimbabwe est à GMT+2, c'est-à-dire :
- En hiver, il y a 1 heure de décalage (il est 12h00 en France quand il est 13h00 au Zimbabwe).
- En été, il n'y a pas de décalage horaire.
Depuis le 24 juin 2019, le système multi-devises en vigueur a été abrogé : les paiements sur le territoire du Zimbabwe doivent se faire exclusivement en dollars zimbabwéens. Les prix sont affichés en devise nationale (monnaie physique - « bond notes » et « bond coins » - monnaie électronique - « Ecocash » : compte à créer auprès de la compagnie de téléphone Econet). Le dollar zimbabwéen est indexé sur le dollar US.
Les retraits d'argent liquide aux distributeurs sont, pour le moment, impossibles avec une carte bancaire internationale. Les bureaux de change, peu nombreux, permettent de changer des devises étrangères en dollars zimbabwéen.
Les règlements par cartes bancaires internationales sont possibles dans les hôtels et magasins de standing à Harare. Plus difficiles en province. On veillera donc à disposer des moyens de paiement nécessaires.
Néanmoins, les règlements en devises étrangères - liquide et cartes bancaires internationales - demeurent possibles dans le secteur de Victoria Falls.
En règle générale, les banques sont ouvertes du lundi au vendredi, de 8h30 à 14h00 (12h00 le mercredi). Certaines d'entre elles ouvrent le samedi, de 8h30 à 11h00.
La tension du réseau est de 220 volts, voire 240 volts en courant alternatif. Les prises de courant sont à trois fiches, 2 plates horizontales et une verticale. Nous vous conseillons de vous munir, avant votre départ d’un adaptateur pour tous vos appareils électriques, et multiprises, mais il est également possible de les acquérir sur place. Dans les lodges, l’électricité est parfois fournie par un groupe électrogène qui ne fonctionne qu’à certaines heures de la journée. Les coupures de courant peuvent être fréquentes. Si vous devez recharger les batteries de vos appareils électroniques (ordinateur portable, appareil photo numérique), cela est possible dans la plupart des camps (à la discrétion des managers de camps).
Généralement, les magasins sont ouverts de 8h00 à 17h00, du lundi au samedi (certains ferment le samedi à 12h00).
Les médias sont massivement anglophones au Zimbabwe.
Parmi la presse écrite présente au Zimbabwe, nous pouvons citer les deux principaux quotidiens nationaux : The Herald à Harare et The Chronicle à Bulawayo.
Le Sunday Mail sort également comme son nom l'indique tous les dimanches.
Parmi la presse privée, il existe le Financial Gazette (tous les jeudis) et le Zimbabwe Indépendant (tous les vendredis).
Il existe également 4 stations de radios et une chaîne télévisée dans tous le pays (et uniquement une seconde chaîne qui est captée à Harare). Presque toutes les stations de radio-télévision ne diffusent qu'en anglais (dû à un monopole de l’État dans ce pays).
Un timbre ne coûte pas excessivement plus cher qu'en Europe. En moyenne il faut compter 10 jours d'acheminement vers l'Europe. La poste ouvre du lundi au vendredi de 8h30 à 16h00 et le samedi de 8h30 à 11h30.
Le réseau téléphonique du Zimbabwe ne fonctionne pas bien : les confusions d’appels et les coupures sont fréquentes, les lignes sont très souvent encombrées.
Pour téléphoner de la France vers le Zimbabwe : il faut composer le 00 + 263 + le code ville sans le "1". (Voici quelques codes villes : Harare : 14 – Victoria Falls : 113 – Hwange : 181 – Kariba : 161) + le numéro de votre correspondant.
Pour téléphone du Zimbabwe vers la France : il faut composer le 00 + le code pays 33 + le numéro à 10 chiffres de votre correspondant sans le "0".
Le numéro d’urgence dans tout le pays est le 99.
A noter que pour les cabines téléphoniques à pièces, il faut prévoir en nombre suffisant des pièces mais pour les appels internationaux, il faut davantage privilégier les cabines téléphoniques à carte.
Nous vous conseillons de vous renseigner directement auprès de votre opérateur (la réception dépend de ceux-ci) et de vous renseigner sur la facturation d'une ouverture de ligne internationale.
ZWL
PARIS
Adr. : 12, rue Lord Byron - 75008 Paris
Tél : 01.56.88.16.00
Fax : 01.56.88.16.09
Du lundi au vendredi : de 9h00 à 13h00 et de 14h00 à 17h00.
PARIS
(Fonctions consulaires assurées par l'Ambassade)
Adr. : 12, rue Lord Byron - 75008 Paris
Tél : 01.56.88.16.00
Fax : 01.56.88.16.09
Quelque soit l’environnement dans lequel le voyageur se déplace, urbain ou plus naturel, il est de sa responsabilité de respecter l’endroit qu’il traverse. Voici quelques principes de base, applicables partout dans le monde. Un second paragraphe vous présente le cas échéant les problèmes environnementaux spécifiques au pays concerné.
- Eviter de laisser certains déchets sur place et les rapporter avec soi si le pays ne dispose pas d’infrastructure d’élimination des déchets. Par exemple : les piles et batteries, les médicaments périmés, les sacs plastiques.
- La rareté de l’eau est aujourd’hui un problème mondial. Même si le pays visité n’est pas a priori concerné par le manque, quelques réflexes doivent désormais faire partie du quotidien : préférer les douches aux bains, éviter le gaspillage, signaler les fuites éventuelles des robinets.
- Dans la plupart des hôtels vous disposerez d’une climatisation individuelle. Il est vivement recommandé pour éviter la surconsommation énergétique et les émissions de gaz à effet de serre afférentes, de la couper systématiquement lorsque vous n’êtes pas présents dans la chambre. La climatisation n’est d’ailleurs pas forcément absolument nécessaire sous tous les climats.
- En balade, dans certains écosystèmes fragiles, ne pas sortir des sentiers ou conduire hors-piste, limiter le piétinement et ne pas rapporter de « souvenir » : cueillir des fleurs rares, ramasser des fossiles ou des pétrifications, etc.