Ressortissants français, belges, suisses et canadiens : passeport en cours de validité, valable au moins 6 mois après la date de retour. Autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
On veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis : 3, dont 2 en vis-à-vis.
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel (ou carte d’identité, selon les exigences du pays de destination). La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale – le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Pour les enfants ressortissants canadiens voyageant seuls, accompagnés d’un seul de leurs parents ou par leur tuteur légal, d’un groupe ou confiés aux soins d’amis, il est recommandé qu’ils soient munis d’une lettre de consentement, dont les modalités sont accessibles sur la page https://voyage.gc.ca/voyager/enfant/lettre-de-consentement
Attention : si vous transitez par l’Afrique du Sud pour vous rendre en Zambie, vous devrez obligatoirement présenter un passeport comportant 2 pages blanches consécutives et côte à côte (page de droite et page de gauche) lorsque celui ci est ouvert. Sinon, l’accès à l’appareil ou au territoire sud africain lors de votre transit peut vous être refusé.
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.
Ressortissants français, belges, suisses et canadiens : pas de visa requis (séjour annuel de 90 jours maximum, par tranches de 30 jours). Autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Le Kaza Univisa, valable pour la Zambie et le Zimbabwe, peut aussi être demandé aux entrées suivant. Zambie : Kenneth Kaunda International Airport ; Harry Mwanga Nkumbula International Airport ; frontière Victoria Falls ; frontière Kazungula (possibilité de demande en ligne pour une entrée côté zambien). Zimbabwe : Harare International Airport ; Victoria Falls International Airport ; frontière Victoria Falls ; frontière Kazungula. Il est valable 30 jours ; il coûte 50 dollars US.
Attention ! pour les vols internationaux, une taxe de sécurité de 3 dollars US est exigible au départ de tous les aéroports zambiens, elle s'ajoute à l'habituelle taxe de départ.
Un certificat valide de vaccination contre la fièvre jaune n'est exigé à l'arrivée que pour les voyageurs en provenance (transit compris) de pays où la maladie peut sévir, même si la vaccination n'y est pas obligatoire (la Tanzanie, par exemple). En tout état de cause, la somme des raisons administratives et des raisons médicales (gravité de la maladie, efficacité de la vaccination en dehors de rares contre-indications évaluées par le médecin du centre agréé) nous fait recommander la vaccination contre la fièvre jaune à tous les voyageurs en Zambie.
Comme toujours et partout, il est important d'être immunisé contre diphtérie, tétanos, coqueluche et poliomyélite, hépatites A et B, rougeole et, en fonction de la durée et du type de voyage, contre typhoïde et rage.
La première protection est individuelle, contre les moustiques (et les autres insectes) : répulsifs adaptés, vêtements couvrants, moustiquaires imprégnées disponibles dans les camps et lodges.
Le paludisme est présent partout, en ville comme en brousse. Le choix d’un traitement préventif se fera donc entre atovaquone-proguanil (Malarone ou l’un de ses génériques) et doxycycline. Compte tenu du risque d'effets indésirables, la prescription de méfloquine (Lariam) ne sera proposée aux voyageurs qu'en cas de bonne tolérance lors de voyages antérieurs ou de contre-indication aux autres médicaments actifs.
La réapparition de la trypanosomiase humaine (maladie du sommeil), transmise par les mouches tsé-tsé, dans le très fréquenté South Luangwa National Park justifie la nécessité d'être encore plus rigoureux sur la protection vectorielle.
Risques environnementaux et comportementaux universels. Les risques alimentaires sont, en principe, absents des lodges et camps de safari et des hôtels de Victoria Falls. Baignades : le risque de parasitoses multiples interdit les bains dans les rivières, si l'on excepte le Zambèze à l'approche – mais pas trop ! – des chutes Victoria.
Lusaka.
1013 $ par habitant.
Mafinga Hills 2301 mètres.
Important : les saisons sont inversées par rapport aux nôtres et Noël se fête au moment le plus chaud de l’année !
La saison commence avec la saison sèche (d’avril à octobre), période très agréable pour voyager : le soleil est très présent, il ne fait pas trop chaud et l’air est sec.
Le débit d’eau des Chutes Victoria est très important les 6 premiers mois de l’année.
La saison des pluies se situe entre le moins de novembre et le mois de mars, l’été austral. Les pluies tombent sous forme d’orages et d’averses, ce qui n’empêche jamais très longtemps le soleil de briller.
Entouré par l'Angola, la République démocratique du Congo, le Malawi, le Mozambique, la Namibie, la Tanzanie et le Zimbabwe, la Zambie occupe une superficie de 752 614 km².
Le fleuve principal est le Zambèze, dont le barrage de Kariba fournit le pays en hydro-électricité.
C'est d'ailleurs entre la Zambie et le Zimbabwe que le fleuve Zambèze plonge rageusement dans le vide sur une hauteur de 95 mètres (les Chutes Victoria), dans le fracas assourdissant. On dit généralement que le point de vue situé du côté zambien offre une image plus impressionnante et plus sauvage.
Le pays est divisé en 9 provinces : Central, Copperbelt (capitale : Ndola), Eastern, Luapula, Lusaka, Northern, North-Western, Southern (capitale : Livingstone), Western.
Malgré le progrès des privatisations et des réformes budgétaires, l'économie de la Zambie a encore beaucoup de chemin à parcourir. Notamment avec 86% de la population vivant en dessous du seuil de pauvreté ; une inflation de 21.5% (2001) et un taux de chômage de 50% de la population active (2000).
Les travailleurs sont répartis par domaine d'activité : agriculture 85%, industrie 6%, services 9%.
Les principales industries sont les exploitations minières et traitement du cuivre, la construction, les aliments, les produits chimiques, les textiles, les engrais, ainsi que l’horticulture
L’agriculture produit du maïs, du sorgho, du riz, des arachides, des graines de tournesol, des légumes, des fleurs, du tabac, du coton, du sucre de canne, du manioc (tapioca) ; et l’élevage des chèvres, des porcs, des volailles, du lait, des œufs.
Le tourisme (23% du PIB) représente un secteur d’avenir qui, pour l’heure, profite essentiellement aux investisseurs sud-africains.
Les produits importés sont des machines, des équipements de transports, des produits pétroliers, de l’électricité, des engrais ; des aliments, des vêtements.
Les principaux partenaires d’importations : Afrique du Sud 67.1%, G.B. 9.8%, Zimbabwe 7.5%, USA 5.9% (2000).
La dette extérieure s’élève à $5.8 milliards et l’aide économique est de $651 millions.
10 307 333 habitants.
L'anglais est la langue officielle.
Il existe près de soixante-dix dialectes locaux dont le souahéli, le bemba, le tonga, le nyanga.
La religion chrétienne est dominante (70 %) avec une majorité de protestants. Il y a 25 % d'animistes et une minorité de musulmans.
1er janvier. Jour de l'An.
12 mars. Journée de la jeunesse.
Mi avril. Lundi de Pâques.
1er mai. Fête du travail.
25 mai. Jour de l'Afrique.
5 juillet. Jour des Héros et de l'Unité.
2 août. Jour des Fermiers.
12 août. Jour de la Défense.
1er novembre. Toussaint.
25 décembre. Noël.
La Zambie est riche en vestiges préhistoriques, tel le crâne de l'homo rhodesiensis ou homo zambianis qui aurait entre 100 000 et 300 000 ans découvert en 1921 à Broken Hill, une mine de zinc dans la ville de Kabwe, par le Suisse Tom Zwiglaar.
La traite des noirs commença en 1850 sous l´impulsion de négociants arabes. Entre 1891 et la colonisation britannique, le nord de la Rhodésie était administré par la South Africa Company. Dans les années 1920 et 1930, l'activité minière avait favorisé le développement de la région et l'immigration.
Le pays prit le nom de Zambie à l'indépendance en 1964. L'économie fut frappée dans les années 1980 et 1990 par la chute des prix du cuivre et par les sécheresses. Les élections de 1991 mirent un terme au gouvernement de l'United National Independence Party ou UNIP (Parti National Uni pour l'Indépendance) de Kenneth Kaunda qui fut remplacé par Frederick Chiluba du Movement for Multiparty Democracy ou MMD (Mouvement pour la démocratie multipartite). Les partis d'opposition améliorèrent nettement leur score aux élections de 1996. Conformément à la constitution, après deux termes, Chiluba fut remplacé en décembre 2001 et Levy Mwanawasa, ayant pris la tête du MMD, fut élu président.
Le système légal est basé sur le droit coutumier Anglais et la loi coutumière ; la Zambie n'a pas accepté la juridiction obligatoire de la CIJ (Cour Internationale de Justice).
Le président est à la fois le chef d'état et le chef du gouvernement, il est élu par le vote populaire pour un mandat de 5 ans.
Les Ministres sont choisis par le président parmi les membres de l'Assemblée Nationale.
L’Assemblée Nationale est composée de 150 membres qui sont élus par le vote populaire pour des mandats de 5 ans.
Les organes judiciaires sont, la Cour Suprême (la Cour d'Appel finale ; les juges sont nommés par le président) ; la Haute Cour (juridiction non limitée pour les auditions des affaires civiles et criminelles).
Le pourboire est laissé à votre appréciation. Pour toutes les personnes intervenant dans le cadre des prestations achetées par notre intermédiaire, vous avez l’assurance qu’il ne se substituera jamais au salaire. Néanmoins, il est d’usage dans la quasi-totalité des pays au monde de donner un pourboire lorsque l’on a été satisfait du service. En safari en Zambie, entre 10 et 15 dollars US par jour et par personne pour l'équipe de guides et 5 dollars US par jour et par personne pour le personnel du lodge et les porteurs sont dans la norme. En ville au restaurant, 10% du montant de l'addition sont réguliers. 2 à 3 dollars US par bagage au bagagiste d'un hôtel.
Ces indications concernent surtout les voyageurs individuels. Notez aussi que, d’une région à l’autre, les choses peuvent varier sensiblement (se renseigner). Si vous voyagez en groupe, consultez la fiche technique de votre circuit pour plus de précisions.
Si le cas se présente, on évitera en revanche d'encourager la mendicité, notamment celle des enfants, en faisant des distributions « sauvages » dans la rue. Si l'on souhaite apporter son aide en fournissant du matériel scolaire, des vêtements ou des médicaments, il est préférable de les remettre au directeur de l’école, au chef du village ou au dispensaire le plus proche, qui sauront en faire bénéficier les plus démunis.
Très peu de règles spécifiques. Respect envers la population locale, bien sûr, mais cela paraît évident. Les critiques envers le gouvernement sont très malvenues.
L'artisanat traditionnel zambien est d'une grande variété, mais peu prolifique. On trouve surtout de la vannerie de bambou, de lianes, de racines, de papyrus ou d'écorces. On peut aussi se procurer des masques, des cannes, des instruments à percussions, des ustensiles de cuisine ou bien encore des représentations d'animaux sauvages.
La cuisine zambienne est souvent calquée sur la cuisine anglaise et manque un petit peu d’originalité : la formule « buffet » est amplement pratiquée. Les fruits et légumes sont rincés à l’eau filtrée et peuvent être consommés sans crainte.
En l'absence d'eau minérale, filtrer ou faire bouillir impérativement l'eau de boisson. Ne consommer les fruits et les légumes qu'après cuisson, après les avoir pelés et soigneusement lavés à l'eau bouillie.
Le réseau routier est en mauvais état (nids de poule) et de ce fait la conduite de nuit est dangereuse, surtout en dehors des agglomérations.
ATTENTION : la conduite à gauche impose pour les personnes qui n'y sont pas accoutumées une vigilance particulière, surtout aux carrefours.
Les agences internationales de location de voitures sont représentées dans la capitale et louent les véhicules avec chauffeur. Le permis de conduire international est requis.
Le réseau ferroviaire, qui relie les villes de Livingstone et de Kitwe, n'est pas recommandé, pour des raisons de sécurité.
Il existe des vols intérieurs assurés par des petites compagnies de charters, toutes basées à Lusaka.
GMT + 2. En hiver une heure de plus qu'en France (quand il est 12h00 à Paris il est 13h00 à Lusaka).
En été, même heure qu’à Paris.
La monnaie est le kwacha zambien (ZMK).
Les devises en espèces ou les chèques de voyages sont les moyens de paiement recommandés. Les cartes de crédit sont généralement acceptées dans les hôtels, et dans les banques mais essentiellement à Lusaka. Et il n'y a pas de distributeurs automatiques bancaires.
Les banques ouvrent de 8 h à 14 h ou 15 h du lundi au jeudi, et de 8 h à 12 h le vendredi et le samedi.
La tension du réseau est de 220 volts, voire 240 volts en courant alternatif. Les prises de courant sont à trois fiches, 2 plates horizontales et une verticale. Nous vous conseillons de vous munir, avant votre départ d’un adaptateur pour tous vos appareils électriques et multiprises. Dans les lodges, l’électricité est parfois fournie par un groupe électrogène qui ne fonctionne qu’à certaines heures de la journée. Les coupures de courant peuvent être fréquentes.
Si vous devez recharger les batteries de vos appareils électroniques (ordinateur portable, appareil photo numérique), cela est possible dans certains lodges et/ou hôtels (à la discrétion des managers).
Les commerces sont ouverts généralement de 8 h à 12 h et de 13 h à 16 h du lundi au samedi.
Il y a 2 radios principales et 4 en ondes courtes ; 9 chaînes de télévisions pour 277.000 postes.
Le réseau téléphonique de Zambie ne fonctionne pas bien : les confusions d’appels et les coupures sont fréquentes, les lignes sont très souvent encombrées.
De France vers la Zambie : composez 00 + le code international 260 + le code ville (ex Lusaka : 01 ; Kitwe : 02 ; Livingstone : 03) sans le « 0 ».
De Zambie vers la France, composez le 00 + 33 + le numéro sans le « 0 ».
Nombre d'internautes: 25 000 (2002) pour un réseau présent dans les principales villes.
Il y a plusieurs opérateurs de services de téléphonie cellulaire qui gère les 75 000 portables en circulation.
ZMK
0.00020
Ambassade de Zambie en France
18, avenue de Tourville – 75007 Paris
Tél. : 01 56 88 12 70 / 72
Email : zambiansparis@orange.fr
Ambassade de Zambie en Belgique
469, avenue Molière – 1050 Ixelles
Tél. : 02 343 56 49
Web : www.zebru.org
Ambassade de Zambie en Suisse
37-39, rue de Vermont – 1202 Genève
Tél. : 022 761 44 00
Email : geneva@grz.gov.zm
Web : www.zambianmission.ch
Haut-Commissariat de Zambie au Canada
Albert Street 130, Suite 900 – K1P 5G4 Ottawa, Ontario
Email : visasection@zambiahighcommission.ca
Web : https://zambiahighcommission.ca/wp/
En France, en Belgique, en Suisse et au Canada, les fonctions consulaires sont assurées par l’ambassade.
Quelque soit l’environnement dans lequel le voyageur se déplace, urbain ou plus naturel, il est de sa responsabilité de respecter l’endroit qu’il traverse. Voici quelques principes de base, applicables partout dans le monde. Un second paragraphe vous présente le cas échéant les problèmes environnementaux spécifiques au pays concerné.
- Eviter de laisser certains déchets sur place et les rapporter avec soi si le pays ne dispose pas d’infrastructure d’élimination des déchets. Par exemple : les piles et batteries, les médicaments périmés, les sacs plastiques.
- La rareté de l’eau est aujourd’hui un problème mondial. Même si le pays visité n’est pas a priori concerné par le manque, quelques réflexes doivent désormais faire partie du quotidien : préférer les douches aux bains, éviter le gaspillage, signaler les fuites éventuelles des robinets.
- Dans la plupart des hôtels vous disposerez d’une climatisation individuelle. Il est vivement recommandé pour éviter la surconsommation énergétique et les émissions de gaz à effet de serre afférentes, de la couper systématiquement lorsque vous n’êtes pas présents dans la chambre. La climatisation n’est d’ailleurs pas forcément absolument nécessaire sous tous les climats.
- En balade, dans certains écosystèmes fragiles, ne pas sortir des sentiers ou conduire hors-piste, limiter le piétinement et ne pas rapporter de « souvenir » : cueillir des fleurs rares, ramasser des fossiles ou des pétrifications, etc.